«Bötschi questionne» Stefanie Heinzmann: «Je n’ai encore jamais bu d’alcool...»

De Bruno Bötschi

24.9.2019

Stefanie Heinzmann à propos de son premier baiser: «À 13 ans, mais je ne me rappelle plus le nom du mec.»
Stefanie Heinzmann à propos de son premier baiser: «À 13 ans, mais je ne me rappelle plus le nom du mec.»
Benedikt Schnermann

Elle est sous les feux des projecteurs depuis qu’elle a 18 ans. Stefanie Heinzmann, âgée aujourd’hui de 30 ans, parle de son premier baiser, explique pourquoi ses parents sont des exemples à suivre et dévoile quels jours elle se sent particulièrement fragile.

Il est presque 14 heures à la salle du Seepark à Arbon, au bord du lac de Constance: la halle polyvalente est vide, il n’y a qu’un canapé en cuir noir placé à l’écart devant la scène. Et un panneau d’affichage derrière.

Le journaliste s’assied et attend. Le manager arrive en premier, suivi quelques minutes plus tard par Stefanie Heinzmann. La chanteuse valaisanne est ponctuelle telle une… montre suisse.

Stefanie Heinzmann va se produire dans deux heures au SummerDays Festival avant de «plonger dans le lac de Constance». Une interview de 30 minutes, une demi-heure en compagnie de la chanteuse probablement la plus célèbre de Suisse. Il faut mentionner au préalable que les questions d’ordre privé ne sont pas formellement interdites, mais qu’elle n’en raffole pas particulièrement.

Quelques petits déplacements sur le canapé, on replie à nouveau les jambes. Et c’est parti avec les questions.

Madame Heinzmann, avez-vous une idée de ce que nous allons faire?

Non, mais commencez à poser vos questions.

Je vais vous poser un maximum de questions auxquelles vous devez répondre le plus rapidement et spontanément possible au cours de la prochaine demi-heure. Si l’une des questions ne vous convient pas, dites simplement «Je passe».

Donnez le signal.

Vous réveillez-vous le matin en musique?

Mon réveil me tire de mes rêves en diffusant une mélodie classique quelconque.

Quelles astuces donneriez-vous pour se réveiller très rapidement?

S’oublier le matin (elle rit) – c’est la meilleure façon de partir au quart de tour.

Bien joué. La dame a l’esprit vif, vraiment.

Avec qui souhaiteriez-vous déjeuner un jour?

Aucune idée, je ne déjeune pratiquement jamais.

Trouve-t-on des jouets sexuels surprenants dans votre commode?

Non.

Votre appareil de sport favori?

Les haltères, mais sans trop de poids.

Votre parcours de jogging préféré?

Il y a une piste de course agréable à parcourir de quatre kilomètres directement à proximité de chez moi en Valais.

La flûte à bec, oui ou non?

J’aimais la flûte lorsque j’étais petite mais je n’en ai plus touché une seule depuis cette période.

Stefanie Heinzmann à propos de ses modèles: «Ma mère et mon père sont de bons exemples à suivre, particulièrement pour les relations humaines. Ils sont mariés depuis 48 ans et ont vécu ensemble en harmonie jusqu’à présent».
Stefanie Heinzmann à propos de ses modèles: «Ma mère et mon père sont de bons exemples à suivre, particulièrement pour les relations humaines. Ils sont mariés depuis 48 ans et ont vécu ensemble en harmonie jusqu’à présent».
Daniel Gassner

Vous souvenez-vous du tout premier concert auquel vous avez assisté?

J’ai vu DJ Bobo à Naters lorsque j’avais sept ans.

Elle sourit, comme une petite fée. Dis donc, cette Stefanie Heinzmann. On ne lui ferait aucun mal. Mais il faut entrer encore un peu plus dans les détails. Allons-y, la première salve est lancée!

Votre premier baiser?

À 13 ans, mais je ne me rappelle plus le nom du mec.

Quel hobby de votre adolescence pratiquez-vous encore?

Le chant.

Où trouvez-vous que le Valais est le plus authentique?

Au sommet des montagnes.

Dès 2000 mètres?

1500 mètres suffisent déjà. Ma famille possède un chalet d'alpage au-dessus de Viège. C’est mon endroit préféré en Valais.

Le plus mauvais côté des Suisses?

C’est probablement le fait de vouloir se tenir à l’écart de toutes les situations possibles tout en souhaitant profiter partout des éventuels avantages.

Un côté étonnamment positif des Suisses?

Ce sont des personnes extrêmement chaleureuses.

Que vous a appris votre mère à propos des hommes?

Rien de concret ne me vient à l’esprit. Ma mère et mon père sont de bons exemples à suivre, particulièrement pour les relations humaines. Ils sont mariés depuis 48 ans et ont vécu ensemble en harmonie jusqu’à présent. Mes parents m’ont montré qu’il est donc primordial d’avoir quelqu’un à ses côtés qui sache apprécier les forces et les faiblesses de son partenaire et les appréhender.

Bien. Difficile de faire mieux. Le bonheur complet en famille!

La différence majeure entre vous et Pink?

Je viens de Suisse, pas elle (elle éclate de rire).

Quels sont les signes qui montrent que vous êtes sur le point d’exploser de colère?

Heu, j’explose très rarement à vrai dire. Je ne me souviens pas de la dernière fois que c’est arrivé. Si je suis très calme, mes amis savent que quelque chose ne va pas.

Qui doit être présent pour que le «Kafikränzli» soit parfait?

Mes quatre meilleures collègues.

Quand vous est-il arrivé un quelconque événement récent que vous qualifieriez de sexiste?

Il y a quelques jours, je me suis garée à une place de parc à Brigue. Après être sortie du véhicule, un moniteur de conduite a déclaré: «Hé petite, tu m’en chanteras une la prochaine fois».

Êtes-vous douée pour vous excuser?

Je suis presque trop douée pour les excuses. Je m’excuse même souvent en l’absence de toute faute.

Pensez-vous que l’esprit de Woodstock a changé la société, comme cela a été évoqué?

C’était une période spéciale à l’époque, et je crois que nous nous trouvons à nouveau dans une période tout aussi particulière. L’amour et la tolérance sont aussi redevenus des thèmes importants de nos jours. Je pense qu’il serait bien qu’un festival similaire puisse à nouveau avoir lieu prochainement.

Vous avez fêté vos 30 ans le 10 mars. Un slogan du mouvement de 1968 disait: «Ne fais pas confiance à une personne de plus de 30 ans». Faut-il encore vous faire confiance?

(Elle rit). Je crois que les choses étaient très différentes auparavant. À partir de 30 ans, avoir une famille, des enfants et un emploi était normal. Les trentenaires d’aujourd’hui sont des gens radicalement opposés à ceux qui ont eu 30 ans il y a un demi-siècle. Et pour cette raison, on peut me faire confiance.

Stefanie Heinzmann au sujet de son apparence: «Lorsque l’on m’a découverte à 18 ans, je ne correspondais pas à l’idéal typique de beauté. Une chanteuse au look emo et qui chante de la soul, ça ne s’était jamais vu auparavant»
Stefanie Heinzmann au sujet de son apparence: «Lorsque l’on m’a découverte à 18 ans, je ne correspondais pas à l’idéal typique de beauté. Une chanteuse au look emo et qui chante de la soul, ça ne s’était jamais vu auparavant»
Benedikt Schnermann

En janvier 2008, vous avez remporté le casting musique SSDSDSSWEMUGABRTLAD dans l’émission «TV Total» de Stefan Raab. Est-ce bien exact qu’il ne souhaitait d’abord pas du tout vous écouter?

J’ignore tout de cela.

Vous l’avez raconté vous-même un jour dans une interview.

Ah, oui, c’est vrai. Stefan Raab pensait que j’étais trop jeune. J’avais complètement oublié cette histoire.

Comment avez-vous quand même réussi à participer à l’émission?

Les rédacteurs du programme ont pu convaincre Stefan Raab que j’étais bien âgée de 18 ans.

Comment expliquez-vous que les hits ont une si mauvaise réputation?

Les stations radio bombardent les auditeurs avec des hits jusqu’à ce qu’ils en aient marre d’une chanson.

Quelle vérité surprenante un critique a-t-il écrit sur vous?

Hmmm... vous voulez dire de la publicité négative?

Il peut également s’agir de critique positive.

Les titres négatifs me concernant n’étaient pas tous exacts. On trouve naturellement aussi de nombreux jolis articles de presse, par exemple ceux sur nos shows en live de l’été dernier. En toute honnêteté, j’avoue ne lire que très rarement les critiques sur moi.

Sexe, drogues et rock’n’roll: combien d’expériences avez-vous eues dans ces domaines au cours des dernières années?

Je n’ai encore jamais bu d’alcool, j’ai beaucoup trop de respect à l’égard des drogues et j’ai eu des rapports sexuels dans des proportions normales.

Votre apparence était-elle plutôt un obstacle ou une chose bénéfique pour votre carrière?

Très bénéfique. Lorsque l’on m’a découverte à 18 ans, je ne correspondais pas à l’idéal typique de beauté. Une chanteuse au look emo et qui chante de la soul, ça ne s’était jamais vu auparavant.

Quand vous êtes-vous teint les cheveux dernièrement?

Je les teins tous les deux mois.

Votre pire catastrophe en matière de mode?

Mon Dieu, j’ai déjà porté tant de vêtements horribles dans ma vie! Je dois me sentir à l’aise dans mes vêtements lorsque je les porte. Ce que je pense de mes tenues une semaine ou un mois plus tard m’est égal (elle éclate de rire).

Les gens se préoccupent-ils trop de leur garde-robe?

Et bien, je ne serais pas aussi catégorique. C’est vrai que je ne me soucie personnellement pas trop de mes vêtements, mais je n’ai aucun problème avec les personnes pour qui la mode est importante. J’aime voir les gens bien habillés.

La plus belle femme avec qui on vous ait comparée?

On m’a déjà comparée à Joss Stone. La chanteuse de soul britannique possède à mon avis l’une des plus belles voix au monde. Cette comparaison était donc des plus flatteuses même si je ne trouve absolument aucune similitude entre nos voix.

Myope ou hypermétrope?

Myope.

Combien de dioptries?

Moins quatre.

D’où viennent vos lunettes et combien coûtent-elles?

De chez McOptik, et je les ai reçues en cadeau.

Possédez-vous un seul ou plusieurs exemplaires de monture du même modèle?

Seulement un, mais ma mère a le même modèle.

Est-ce toujours un sentiment agréable de se regarder dans le miroir?

Parfois plus, parfois moins, mais je suis en principe très heureuse de mon apparence.

Portez-vous vos lunettes dans la baignoire?

Eh bien... oui, si je décide de lire dans le bain, sinon je ne les mets pas.

Stefanie Heinzmann à propos du doute de soi: «Les périodes où j’ai mes règles sont difficiles. Je me sens parfois affaiblie. J’arrive néanmoins à déterminer, durant ce moment, d’où provient cette incertitude».
Stefanie Heinzmann à propos du doute de soi: «Les périodes où j’ai mes règles sont difficiles. Je me sens parfois affaiblie. J’arrive néanmoins à déterminer, durant ce moment, d’où provient cette incertitude».
Sabina Feige

Préférez-vous chanter avec vos lunettes ou des verres de contact?

J’ai rarement porté des lentilles de contact, mais je dois dire que les lunettes m’énervent souvent un peu. Elles n’arrêtent pas de glisser.

Un mouvement typique de la main que vous effectuez durant un concert?

Remettre mes lunettes sur le nez.

Quel merveilleux moment. Et il faut encore savoir que Stefanie Heinzmann est l’ambassadrice de marque d’une chaîne suisse d’opticiens.

De quelles petites faiblesses de caractère avez-vous honte?

Aucune.

On trouve sur votre album actuel «All we need is love» la chanson «Mother’s Heart». Vous chantez sur le thème du doute de soi. Quand doutez-vous le plus de vos capacités?

Les périodes où j’ai mes règles sont difficiles. Je me sens parfois affaiblie. J’arrive néanmoins à déterminer, durant ce moment, d’où provient cette incertitude. Les doutes me rongent lorsque je ne peux pas me trouver dans le présent. Cela se produit lorsque mon agenda déborde de rendez-vous. Ces jours-là, je ressens régulièrement les doutes m’assaillir. Je m’interroge ensuite: est-ce que j’arrive vraiment à tout faire? Est-ce que j’en suis capable?

Nous vivons dans une époque où les gens souffrent toujours plus de burn-out, de psychoses, d’angoisses ou sont en quelque sorte désespérés par la vie. À quel niveau se situe votre qualité de vie?

Incroyablement haut, et je suis également très reconnaissante pour cela. Je sais que nous avons la chance de bénéficier d’une vie totalement privilégiée en Suisse.

Dans «Mother's Heart», vous chantez par ailleurs sur ce que vous feriez si vous étiez maman ...

... c’est vrai...

... Vous avez déjà déclaré au cours de multiples interviews vouloir fonder une famille: «Plus les années passent, plus je prends conscience que je le souhaite ardemment et combien je désire devenir mère».

C’est un souhait, mais je ne stresse pas à cette idée. En tant que musicienne, je me déplace actuellement énormément si bien qu’une grossesse n’est pas à l’ordre du jour. Cela peut bien sûr toujours arriver, mais en ce moment, j’apprécie la vie à deux avec mon copain.

Et votre petit ami: serait-il aussi heureux d’être père?

Pour avoir la réponse à votre question, il vous faut interviewer mon partenaire.

Oh! C’est en ordre. Mauvaise question.

Êtes-vous une personne courageuse?

Je pense que oui. En même temps, je suis également une personne très réaliste.

Contre quoi vous défendez-vous?

Contre les personnes asociales, l’injustice et l’intolérance.

Le moment du jour où vous êtes la plus confiante?

Le soir.

Avec quelle œuvre d’art dans votre appartement pourriez-vous vous distinguer le cas échéant?

Avec mon soldat impérial.

Combien de tatouages ornent votre corps?

Difficile à dire, je pense qu’il y en a une vingtaine.

Quelle est la signification du wagon de marchandises sur votre bras?

C’est mon secret.

Votre chiffre porte-bonheur?

Quatre, huit, 13, 17 – tous les nombres qui s’articulent autour de huit et quatre.

Êtes-vous superstitieuse?

Seulement pour les choses positives.

Quand avez-vous tenu pour la dernière fois des propos absurdes?

Il y a une semaine en voiture. J’étais en route avec le joueur de hackbrett Ephraim Salzmann et un peu fatiguée. C’était très drôle.

Avez-vous un pull à hit, c’est-à-dire un maillot dans lequel vous êtes particulièrement à l’aise lorsque vous composez?

Je n’en ai pas. Mais je possède un pull «Star Wars» que je porte toujours lorsque j’ai envie de me sentir douillettement enveloppée. Je le porte souvent quand nous sommes en déplacement dans notre bus de tournée.

Que fait Gölä faux, que fait Trauffer correctement?

Je l’ignore. Je ne me suis que très peu intéressée aux deux musiciens jusqu’à présent.

Êtes-vous politiquement plutôt de gauche ou de droite?

De gauche dans tous les cas.

Est-il plus aisé de chanter magnifiquement lorsqu’on a un chagrin d’amour?

Je ne trouve pas. Les pleurs sont les plus grands ennemis du chant. J’ai le plus de facilité à chanter quand je me sens très bien.

La chose la plus insensée que vous ayez jamais faite avec vos mains en chantant?

Je ne fais quasiment rien de mes mains quand je chante.

Le moment le plus divin, le plus heureux de tous que vous ayez passé sur scène?

Je me sens la plus heureuse lorsque le groupe est en accord. Cela se produit par exemple quand Ephraim joue au hackbrett et que le public est complètement captivé. C’est juste merveilleux.

Quand êtes-vous entrée récemment dans un restaurant ou un club en train de diffuser l’un de vos morceaux?

Je ne sais plus, mais hier, une de mes chansons passait justement à la radio dans l’auto lorsque je l’ai enclenchée.

Stefanie Heinzmann sur son occupation quand elle est seule: «J’aime beaucoup lire, je lis actuellement le roman «Abysses». C’est un désastre. Je dois vraiment lutter, cette lecture s’éternise de toute évidence».
Stefanie Heinzmann sur son occupation quand elle est seule: «J’aime beaucoup lire, je lis actuellement le roman «Abysses». C’est un désastre. Je dois vraiment lutter, cette lecture s’éternise de toute évidence».
Benedikt Schnermann

Avez-vous parfois peur de votre métier?

Dans les moments de grande faiblesse, même si je suis consciente que je ne dois justement rien craindre de ma profession.

Votre occupation lorsque vous êtes seule?

J’aime beaucoup lire, je lis actuellement le roman «Abysses» de Frank Schätzing. C’est un désastre. Je dois vraiment lutter, cette lecture s’éternise de toute évidence.

Combien de pages vous reste-t-il à lire?

30.

Finissez-vous toujours vos livres?

Je ne peux pas m’en empêcher.

Maintenant fini les tracas! Retour sur le petit ami!

Plutôt inspirer ou expirer?

La combinaison des deux constitue le tout.

Nager vers le large: plutôt seule ou à deux?

À deux.

Un autre mot pour l’amour?

La gratitude.

Qu’est-ce qui vous stimule le plus: le froid ou le chaud?

Les deux sont géniaux, mais quand on est chaudement habillé, c’est encore mieux lorsqu’il fait froid.

À quoi une autre personne voit-elle que vous êtes amoureuse?

J’ai une petite flamme dans les yeux ... enfin, aucune idée, je me sens simplement très heureuse et chanceuse que j’en oublie tous mes soucis.

Une manie qui fait que vous aimez votre petit ami?

Je ne la dévoile pas.

Qui vous a récemment vraiment pris dans ses bras?

Mon copain.

Pour conclure, voici encore notre fameux test de talent: vous évaluez s’il vous plaît votre talent en attribuant les points ainsi: de 0 point – aucun talent à 10 points – incroyable talent. Comme artisane?

Ce n’est pas que je sois dépourvue de talent, mais cela fait bien longtemps que je n’ai pas exercé d’activité manuelle. La dernière fois que j’ai réalisé quelque chose, cela m’aurait valu entre six et sept points.

Comme jardinière?

À améliorer. Je m’attribue entre trois et quatre points.

En tant que politicienne?

J’ai une opinion politique que j’assume et que je représente également à l’extérieur, mais sans être politicienne. Un seul point.

En tant que Üsserschwiizerin (ndlr: les autres locuteurs suisses alémaniques en dehors du Valais)?

Je pense que je me débrouillerais très bien. Oui, je serais un talent comme Üsserschwiizerin, je m’attribue donc sept points.

Nous avons terminé.

Merci. J’espère que mes réponses vous ont donné satisfaction.

Oui.

Stefanie Heinzmann sera à nouveau en tournée dès la fin octobre. Vous trouverez ici les dates de ses concerts.

Le journaliste de «Bluewin» Bruno Bötschi s’adonne régulièrement à ce jeu de questions-réponses avec des célébrités dans le cadre de sa chronique «Bötschi questionne». Il dispose d'une grande expérience en matière d'entretiens. Depuis de nombreuses années, il écrit pour le magazine «Schweizer Familie» la série «Traumfänger» (l'attrape-rêve). Ainsi, il a demandé à plus de 200 personnalités quels étaient leurs rêves d'enfant. Le livre compilant tous ces entretiens a été publié par Applaus Verlag à Zurich. Il est disponible en librairie.
Le journaliste de «Bluewin» Bruno Bötschi s’adonne régulièrement à ce jeu de questions-réponses avec des célébrités dans le cadre de sa chronique «Bötschi questionne». Il dispose d'une grande expérience en matière d'entretiens. Depuis de nombreuses années, il écrit pour le magazine «Schweizer Familie» la série «Traumfänger» (l'attrape-rêve). Ainsi, il a demandé à plus de 200 personnalités quels étaient leurs rêves d'enfant. Le livre compilant tous ces entretiens a été publié par Applaus Verlag à Zurich. Il est disponible en librairie.
zVg
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