Lady Di était assistante dans un jardin d'enfants avant son mariage avec le prince Charles.
Kate Middleton se rêvait photographe.
Mathilde d'Udekem d'Acoz, reine de Belgique, a mis fin à sa carrière d'orthophoniste après son mariage.
Laetizia Ortiz, la star des médias devenue reine d’Espagne.
Epouse du roi Willem-Alexander des Pays-Bas, la reine Maxima a travaillé pour des sociétés de la finance.
La reine de Suède, Silvia Sommerlath, travaillait au consulat d'Argentine à Munich durant les JO d'été en tant qu'hôtesse et chef du protocole.
Meghan Markle aurait pu devenir une star hollywoodienne.
Comtesse de Wessex, l'épouse du fils cadet d'Elizabeth II dirigeait une société spécialisée dans les relations publiques basée à Londres.
Princesse consort du Japon, Masako Owada a, durant deux ans, été l'une des plumes du Premier ministre, Noboru Takeshita.
Les carrières auxquelles les princesses ont dû renoncer
Lady Di était assistante dans un jardin d'enfants avant son mariage avec le prince Charles.
Kate Middleton se rêvait photographe.
Mathilde d'Udekem d'Acoz, reine de Belgique, a mis fin à sa carrière d'orthophoniste après son mariage.
Laetizia Ortiz, la star des médias devenue reine d’Espagne.
Epouse du roi Willem-Alexander des Pays-Bas, la reine Maxima a travaillé pour des sociétés de la finance.
La reine de Suède, Silvia Sommerlath, travaillait au consulat d'Argentine à Munich durant les JO d'été en tant qu'hôtesse et chef du protocole.
Meghan Markle aurait pu devenir une star hollywoodienne.
Comtesse de Wessex, l'épouse du fils cadet d'Elizabeth II dirigeait une société spécialisée dans les relations publiques basée à Londres.
Princesse consort du Japon, Masako Owada a, durant deux ans, été l'une des plumes du Premier ministre, Noboru Takeshita.
Elles ont toutes épousé un prince ou un roi et mènent la vie de château. Mais avant d’intégrer le monde très fermé des têtes couronnées, elles étaient déjà promises à un bel avenir…
Kate Middleton, Meghan Markle et Letizia Ortiz auraient en effet pu embrasser de très belles carrières. A quelles ambitions ont dû renoncer ces femmes de tête en épousant leur prince charmant?
Kate Middleton se rêvait photographe
Elle est aujourd’hui l’heureuse épouse du prince William, futur roi d’Angleterre. Mais avant de devenir l’une des jeunes femmes les plus en vues, Kate Middleton suivait de brillantes études d’histoire de l’art à l’université de St Andrew’s. C’est d’ailleurs au sein de ce prestigieux établissement qu’en 2001, la jeune femme rencontre son futur mari; celui qui, en l’épousant, la fera entrer à la cour d’Angleterre. Malgré quelques couacs au début de leur relation, les deux amoureux se jurent fidélité en 2011 et deviennent les parents de George, Charlotte et Louis, nés entre 2015 et 2018.
Avant d’être une maman comblée au sein de la famille royale britannique, Kate se rêvait photographe. Cette activité la passionnait à tel point qu’elle aura aimé en faire sa profession, rapporte «Gala». Si le destin en a voulu autrement, la duchesse de Cambridge s’adonne encore souvent à son art en immortalisant son entourage. Talentueuse, elle réalise même des clichés officiels de ses enfants, informe le magazine.
Meghan Markle aurait pu devenir une star hollywoodienne
Rien ne prédestinait le prince Harry à rencontrer cette Américaine… et pourtant! En se mariant, Meghan Markle est devenue duchesse de Sussex, et a donné naissance à son premier fils, Archie, au printemps dernier. Mais, scrutée par les médias pour son look branché, la jeune femme de 38 ans fait figure d’ovni dans la famille royale. Elevée dans une culture bien différente, mais aussi peu encline à respecter le protocole, Meghan impose résolument son style.
Il faut dire que pour épouser Harry, elle a dû quitter son pays et renoncer à son ancienne vie, à son métier et sa passion. Car Meghan était une actrice dont la carrière progressait, notamment grâce à la série «Suits».
Avant cela, elle avait aussi joué dans plusieurs autres séries, fait un peu de mannequinat et tenait depuis 2014 le blog «The Tig», sur lequel elle délivrait de précieux conseils sur l’alimentation. Des activités variées qui lui ont d’ailleurs permis d’amasser quelques 5 millions de dollars jusqu’en 2018, informe le magazine américain «Town and Country». Dotée de plusieurs cordes à son arc, elle s’était auparavant diplômée en théâtre et en relations internationales. Actrice ou duchesse? Meghan Markle avait donc semble-t-il le choix… Aujourd’hui, la jeune femme n’a pas pour autant renoncé à ses ambitions puisqu’elle a, le 12 septembre dernier, dévoilé en avant-première une ligne de vêtements à prix abordables destinées aux femmes dans la précarité, rapporte «Purepeople».
Letizia Ortiz, la star des médias devenue reine d’Espagne
C’est en 2002, au cours d’un reportage pour la télévision, que la jeune Letizia, alors âgée de 30 ans, rencontre Philippe, futur roi d’Espagne, dont elle tombe immédiatement amoureuse. Leur histoire s’officialise un an plus tard, et les tourtereaux se marient en 2004. Mais il faut savoir qu’avant cette rencontre qui fera basculer sa vie, Letizia avait été mariée à Alonso Guerrero, un professeur de littérature dont elle a divorcé en 1999, relaie «Marie Claire».
D’abord officiant dans la presse écrite, puis reporter pour Bloomberg et CNN+, et enfin présentatrice du téléjournal de la chaîne TVE, la jeune Letizia connaît une fulgurante carrière. En 2000, elle est même récompensée du prix Mariano José de Larra au titre de «meilleure journaliste de moins de 30 ans».
Connue en tant que figure incontournable de l’information, les Ibériques ont donc été enchantés par ce conte de fées moderne entre le futur roi et l’étoile montante des médias. Mais, à cause de son nouveau statut, Letizia Ortiz a évidemment dû laisser de côté ses activités. En 2014, après l’abdication de Juan Carlos, elle est finalement couronnée Reine consort d’Espagne. Elle est alors déjà maman de deux petites princesses, Leonor et Sofía, respectivement nées en 2005 et 2007.
Les princesses Catharina-Amalia, Alexia et Ariane ont bien grandi!
Les princesses Catharina-Amalia, Alexia et Ariane ont bien grandi!
Les trois filles de la reine Maxima et du roi Willem-Alexander sont apparues au public lors d’un shooting photo d’été.
Les trois soeurs ont aujourd'hui 15 ans et demi, 14 ans et 12 ans.
C’est avec beaucoup d’élégance qu’elles ont pris la pose devant les photographes, à l'image de leur célèbre maman.
Une famille royale qui pose comme une famille ordinaire? Dans les jardins de sa nouvelle résidence de La Haye, tout de même.
La princesse héritière Catharina-Amalia dépasserait-elle à présent la reine Maxima?
Le roi Willem -Alexander et son épouse Maxima apparaissent détendus et d’un naturel déconcertant pour des monarques.
Il ne fait aucun doute que ces photos d’été correspondent parfaitement à l’image de la famille royale.
William, Harry et Cie: les notes des membres de la famille royale
William, Harry et Cie: les notes des membres de la famille royale
Le prince William sera roi un jour, quelles qu’aient été ses notes à son certificat de maturité. Mais comment le numéro deux dans l’ordre de succession au trône britannique s’en est-il réellement sorti à ses examens? Et qu’en est-il de sa famille?
Alors que les élèves suisses ont la maturité, les Britanniques passent l’examen appelé A-level. Les élèves sont évalués dans certaines matières de leur choix – dans l’idéal en gardant en tête les conditions d’accès à leur discipline de prédilection. Le prince William a choisi la géographie, l’art et la biologie.
La biologie semble avoir été l’épreuve la plus difficile pour lui; il a réussi l’examen avec un C, une note qui équivaut chez nous à un 4. Bien qu’il ait eu sa meilleure note en géographie – un A (6) –, William a choisi un cursus plus proche de sa troisième matière d’examen, à savoir…
… l’histoire de l’art: William a tout de même eu un B en art (5). Mais son intérêt pour la géographie l’a finalement emporté et au bout de deux ans, le prince a changé de cap pour entreprendre des études dans cette filière. Cette formation initiale interrompue a néanmoins servi.
C’est en effet au cours de celle-ci que le prince William a fini par tomber amoureux de sa camarade d’études Kate Middleton qui, comme lui, s’était inscrite en histoire de l’art à l’université de St Andrews – mais qui, contrairement à lui, a terminé le cursus.
Cette fille d’entrepreneurs a eu les notes qu’il fallait: elle a obtenu son A-level avec un A (6) en mathématiques et en arts et un B (5) en anglais.
La duchesse Meghan était elle aussi considérée comme une élève assidue, même si ses résultats au SAT – le test utilisé pour l’admission aux universités américaines – n’ont pas été transmis. Dans tous les cas, elle a eu des notes suffisamment bonnes pour s’inscrire à l’université Northwestern à Evanston, dans l’Illinois.
Elle y a non seulement brillamment étudié le théâtre et les relations internationales, mais elle a également acquis des connaissances dans une deuxième langue étrangère, l’espagnol. Elle avait déjà appris le français à l’école.
Son mari, le prince Harry, était moins curieux à l’école. Contrairement à son frère – et à la plupart des autres diplômés anglais du A-level –, il n’a choisi que deux matières pour une formation approfondie: l’art et la géographie.
L’ancien prince fêtard a tout de même eu un B (5) en art, mais seulement un D (3) en géographie. Harry a néanmoins brillé en sport, notamment dans les équipes de polo, de cricket et de rugby de son école. C’est donc logiquement qu’après son année sabbatique, il n’est pas allé à l’université, mais directement à l’armée.
Le prince Charles aurait tant aimé aller à l’école comme ses fils plus tard à Eton. Mais son père, le prince Philip, a insisté pour envoyer l’héritier du trône à Gordonstoun, un internat réputé pour sa rigueur qu’il avait lui-même fréquenté. Une période que Charles aurait décrite un jour comme une «peine de prison».
Lors de ses examens finaux, Charles a pourtant obtenu des résultats passables: il s’en est sorti avec un C (4) en français et un B (5) en histoire, sa discipline ultérieure à Cambridge.
La princesse Diana a eu beaucoup de mal à l’école: dans le livre «Diana, chronique intime», la biographe Tina Brown la décrit comme une «élève moyenne» qui, malgré ses aptitudes en sport, manquait de «curiosité intellectuelle».
En réalité, Diana a été recalée deux fois aux examens finaux en 1977. Par la suite, elle n’a tenu que trois mois à l’institut Alpin Videmanette de Rougemont (canton de Vaud).
La princesse Eugenie s’est décrite autrefois comme une élève plus travailleuse qu’intelligente – un doux euphémisme, puisque la cousine du prince Harry et du prince William a tout de même obtenu d’excellentes notes.
Eugenie a eu un A – la note maximale – en art et en littérature et un B (5) en histoire de l’art. Pourtant, sa candidature à l’université de Newcastle a été initialement rejetée. Ce n’est que lorsque son identité a été reconnue qu’elle a été autorisée à commencer ses études en littérature, en histoire de l’art et en politique.
Sa sœur, la princesse Beatrice, n’a pas non plus à rougir de son examen de maturité: elle a obtenu un A (6) en art dramatique et un B (5) en histoire et en cinéma. Elle a ensuite poursuivi des études en histoire et en histoire des idées, qu’elle a achevées avec succès en 2011.
Et la reine? Elle n’a pas de certificat de maturité – ni quoi que ce soit d’équivalent. Comme elle n’est jamais allée à l’école, Elisabeth II n’a jamais eu à passer d’examen. Au lieu de cela, elle a été préparée à son futur rôle chez elle.
Cependant, il ne faut pas commettre l’erreur de la sous-estimer: «La reine était et est toujours très intelligente et curieuse», atteste la biographe Kate Williams. Selon cette dernière, elle fait preuve d’un esprit analytique et d’une mémoire extrêmement nette qui lui ont permis d’embarrasser un certain nombre de Premiers ministres.
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