«Il reste hospitalisé» La famille de De Pierro donne de ses nouvelles après son violent choc à la tête

Clara Francey

26.11.2024

Victime d'un violent choc à la tête, qui lui avait fait perdre connaissance, vendredi dernier lors du match face à Vaduz, le capitaine du Stade Nyonnais Adriano De Pierro va mieux, mais il reste pour le moment hospitalisé, a fait savoir sa famille ce mardi dans un communiqué.

Rédaction blue Sport

Victime d'un violent choc à la tête vendredi dernier à la 5e minute du match de Challenge League opposant le Stade Nyonnais à Vaduz, Adriano De Pierro, le capitaine de l'équipe vaudoise, avait été hospitalisé d'urgence. Resté plusieurs minutes inconscient sur la pelouse de Colovray, le défenseur central est dans un «état stable», a fait savoir sa famille ce mardi.

«Suite à sa blessure après le coup reçu à la tête, Adriano De Pierro reste hospitalisé pour une période indéterminée. Son état de santé est pour le moment stable bien que ses examens médicaux ne permettent pas encore d’avoir de réponses exactes quant à son rétablissement, mais il sera probablement écarté des terrains pendant plusieurs semaines voire mois. Nous constatons cependant de légères améliorations chaque jour depuis l’accident et restons positif pour la suite», écrit la famille du joueur de 33 ans dans un communiqué publié ce mardi.

Cette dernière tient à remercier «chaleureusement chaque personne qui apporte son soutien de près ou de loin, le club pour sa présence, les membres de l’équipe et du staff du Stade Nyonnais mais également de tous les autres clubs de football, les supporters pour leurs encouragements, les ami(e)s, les proches et toutes autres personnes. Tout cela nous va droit au coeur et encore plus à Adriano, cela lui fournit encore plus de forces pour se rétablir».

Elle précise enfin «pour ceux qui ont tenté de contacter Adriano sur son téléphone privé», qu'«il n'est malheureusement pas en mesure de répondre pour le moment» et que «pour son rétablissement et son bien-être, Adriano a besoin de beaucoup de calme et de repos», raison pour laquelle «les visites hospitalières sont extrêmement restreintes».