Famille royaleHarry et William: la véritable raison de leur brouille dévoilée?
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20.8.2019
Alors qu’on les croyait très soudés depuis la disparition tragique de leur mère en août 1997, les deux fils de Lady Diana seraient en réalité en bisbille depuis plusieurs années. Et le coup de grâce aurait été porté à Harry lors de ses fiançailles.
Ils apparaissaient très soudés et complices et, bien que leur lien soit indéfectible, il semble que le cadet des fils de Charles et Diana ait du mal à digérer le manque de soutien de son grand frère et de son épouse. Si durant ses jeunes années, Harry a fait plus d’une fois la une des magazines à scandale, endossant le rôle de bad boy de la famille royale, il aurait mal digéré l’absence de soutien des Cambridge, alors qu’il venait de rencontrer Meghan, devenue depuis son épouse. Entre Meghan, plus âgée que Harry, divorcée, américaine, actrice, et Kate et William qui ont connu une relation longue de 10 ans avant de se marier, il est vrai qu’un fossé semble exister. Le grand fère s’est-il montré trop réticient face à l’histoire d’amour du jeune prince, rapide et fougeuse?
«Ce qui était à l’origine bien intentionné, comme l’expression d’une préoccupation normale entre frères a été très mal interprété par Harry qui a estimé que William ne lui apportait pas le soutien dont il avait besoin», a expliqué Katie Nicholl, biographe royale, alors qu’elle était interrogée par la chaîne Fox News, comme le relate «Gala».
Harry serait blessé
La querelle qui oppose aujourd’hui le jeune duc de Sussex à son frère daterait donc, selon le «Sun», de ses fiançailles avec Meghan Markle, en novembre 2017. Surpris d’un enchaînement si rapide des évenements, entre la rencontre et la demande en mariage de Harry à Meghan, le couple Cambdrige aurait exprimé ses inquiétudes au jeune prince qui ne l’aurait pas digéré… lui qui avait immédiatement soutenu son frère dans sa relation avec Kate Middleton.
«Tout a été si rapide que William et Kate n’ont pas eu le temps d’apprendre à connaître Meghan, car Harry connaissait à peine Meghan», a expliqué Ingrid Seward, experte royale et rédactrice en chef du magazine «Majesty» dans les colonnes du journal britannique.
Et toujours selon le magazine «Gala», «Kate et William ont demandé à Harry s’il était certain de savoir dans quoi il s’engageait. Des préoccupations que le prince n’a pas pardonnées». C’est le moment où tout a changé, selon Kate Nicholl: «A partir de ce moment, la dynamique entre les deux frères a changé […] Il y a eu un vrai basculement et cela parce qu’Harry en a voulu à William. C’est là l’origine de la brouille entre les Sussex et les Cambridge.»
Des rancoeurs encore plus anciennes?
Séparés physiquement les uns des autres depuis le déménagement des Sussex, glaciaux en présence l’un de l’autre à l’anniversaire de leur grand-mère, désolidarisés de leur fondation commune et faisant compte Instagram à part, la brouille entre les frères semble bien avancée. La séparation ne se fait cependant pas sans heurts. Le «Sun» a ainsi dévoilé un coup de colère du plus jeune des frères au moment de ses fiançailles: il aurait reproché à William et Kate de «vouloir briser une histoire à peine commencée».
On peut se demander si ce manque de soutien de William n’apparaît pas comme la fois de trop pour Harry. Dans un article paru en avril 2019, «Gala» revenait sur la rivalité entre les frères, notamment durant la crise d’adolescence d’Harry, et ses nombreuses incartades. «William était loin d’être parfait pendant cette période. Il buvait aussi quand il ne le devait pas, mais vu qu’il était l’héritier, il s’en sortait et c’était Harry qui payait les pots cassés», déclarait ainsi déjà l’experte Katie Nicholl.
Reste à espérer que cette brouille trouvera une issue apaisée pour que, comme eux lorsqu’ils étaient petits, leurs enfants puissent grandir heureux, ensemble.
William, Harry et Cie: les notes des membres de la famille royale
Le prince William sera roi un jour, quelles qu’aient été ses notes à son certificat de maturité. Mais comment le numéro deux dans l’ordre de succession au trône britannique s’en est-il réellement sorti à ses examens? Et qu’en est-il de sa famille?
Photo: Getty Images
Alors que les élèves suisses ont la maturité, les Britanniques passent l’examen appelé A-level. Les élèves sont évalués dans certaines matières de leur choix – dans l’idéal en gardant en tête les conditions d’accès à leur discipline de prédilection. Le prince William a choisi la géographie, l’art et la biologie.
Photo: Keystone
La biologie semble avoir été l’épreuve la plus difficile pour lui; il a réussi l’examen avec un C, une note qui équivaut chez nous à un 4. Bien qu’il ait eu sa meilleure note en géographie – un A (6) –, William a choisi un cursus plus proche de sa troisième matière d’examen, à savoir…
Photo: Keystone/EPA
… l’histoire de l’art: William a tout de même eu un B en art (5). Mais son intérêt pour la géographie l’a finalement emporté et au bout de deux ans, le prince a changé de cap pour entreprendre des études dans cette filière. Cette formation initiale interrompue a néanmoins servi.
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C’est en effet au cours de celle-ci que le prince William a fini par tomber amoureux de sa camarade d’études Kate Middleton qui, comme lui, s’était inscrite en histoire de l’art à l’université de St Andrews – mais qui, contrairement à lui, a terminé le cursus.
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Cette fille d’entrepreneurs a eu les notes qu’il fallait: elle a obtenu son A-level avec un A (6) en mathématiques et en arts et un B (5) en anglais.
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La duchesse Meghan était elle aussi considérée comme une élève assidue, même si ses résultats au SAT – le test utilisé pour l’admission aux universités américaines – n’ont pas été transmis. Dans tous les cas, elle a eu des notes suffisamment bonnes pour s’inscrire à l’université Northwestern à Evanston, dans l’Illinois.
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Elle y a non seulement brillamment étudié le théâtre et les relations internationales, mais elle a également acquis des connaissances dans une deuxième langue étrangère, l’espagnol. Elle avait déjà appris le français à l’école.
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Son mari, le prince Harry, était moins curieux à l’école. Contrairement à son frère – et à la plupart des autres diplômés anglais du A-level –, il n’a choisi que deux matières pour une formation approfondie: l’art et la géographie.
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L’ancien prince fêtard a tout de même eu un B (5) en art, mais seulement un D (3) en géographie. Harry a néanmoins brillé en sport, notamment dans les équipes de polo, de cricket et de rugby de son école. C’est donc logiquement qu’après son année sabbatique, il n’est pas allé à l’université, mais directement à l’armée.
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Le prince Charles aurait tant aimé aller à l’école comme ses fils plus tard à Eton. Mais son père, le prince Philip, a insisté pour envoyer l’héritier du trône à Gordonstoun, un internat réputé pour sa rigueur qu’il avait lui-même fréquenté. Une période que Charles aurait décrite un jour comme une «peine de prison».
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Lors de ses examens finaux, Charles a pourtant obtenu des résultats passables: il s’en est sorti avec un C (4) en français et un B (5) en histoire, sa discipline ultérieure à Cambridge.
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La princesse Diana a eu beaucoup de mal à l’école: dans le livre «Diana, chronique intime», la biographe Tina Brown la décrit comme une «élève moyenne» qui, malgré ses aptitudes en sport, manquait de «curiosité intellectuelle».
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En réalité, Diana a été recalée deux fois aux examens finaux en 1977. Par la suite, elle n’a tenu que trois mois à l’institut Alpin Videmanette de Rougemont (canton de Vaud).
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La princesse Eugenie s’est décrite autrefois comme une élève plus travailleuse qu’intelligente – un doux euphémisme, puisque la cousine du prince Harry et du prince William a tout de même obtenu d’excellentes notes.
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Eugenie a eu un A – la note maximale – en art et en littérature et un B (5) en histoire de l’art. Pourtant, sa candidature à l’université de Newcastle a été initialement rejetée. Ce n’est que lorsque son identité a été reconnue qu’elle a été autorisée à commencer ses études en littérature, en histoire de l’art et en politique.
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Sa sœur, la princesse Beatrice, n’a pas non plus à rougir de son examen de maturité: elle a obtenu un A (6) en art dramatique et un B (5) en histoire et en cinéma. Elle a ensuite poursuivi des études en histoire et en histoire des idées, qu’elle a achevées avec succès en 2011.
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Et la reine? Elle n’a pas de certificat de maturité – ni quoi que ce soit d’équivalent. Comme elle n’est jamais allée à l’école, Elisabeth II n’a jamais eu à passer d’examen. Au lieu de cela, elle a été préparée à son futur rôle chez elle.
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Cependant, il ne faut pas commettre l’erreur de la sous-estimer: «La reine était et est toujours très intelligente et curieuse», atteste la biographe Kate Williams. Selon cette dernière, elle fait preuve d’un esprit analytique et d’une mémoire extrêmement nette qui lui ont permis d’embarrasser un certain nombre de Premiers ministres.
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