«Année incroyablement douloureuse» Charlène de Monaco :«Il est parfois difficile de sourire»

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31.12.2019

La princesse Charlène de Monaco, le 19 novembre 2019 à Monaco.
La princesse Charlène de Monaco, le 19 novembre 2019 à Monaco.

La princesse Charlène de Monaco a admis dans une interview qu'il y a une raison derrière son expression souvent triste sur les photos. En effet, elle est rarement souriante sur les clichés, même lors de son mariage avec le prince Albert, et en est consciente.

Charlène de Monaco n’a jamais été très souriante. Depuis son mariage avec le prince Albert II de Monaco, nombreux sont ceux à s’étonner de la voir toujours très peu sourire sur les photos officielles. Les internautes interprètent souvent ça comme de la froideur et du dédain. Ceux qui la soutiennent assurent que ce n’est que de la pudeur. En 2019, la maman de Jacques et Gabriella a eu l’air encore plus triste que d’habitude. Mais cette année a été particulièrement difficile pour elle.

Dans un article paru dans le magazine sud-africain «Huisgenoot», la princesse de Monaco aborde cette question récurrente en expliquant que «les gens sont très prompts à dire: "Oh, pourquoi ne sourit-elle pas sur les photos?" Eh bien, il est parfois difficile de sourire», reconnaît la mère de jumeaux de 5 ans, le prince Jacques et la princesse Gabriella. «Ils ne savent pas ce qui se trame en coulisse.»

Lors de l'interview, la princesse, habituellement timide, livre un témoignage très franc.

«Ils ne savent pas ce qui se trame en coulisse.»

Notant que «l'année écoulée m'a certainement beaucoup touchée», elle explique que ce fut une année «incroyablement douloureuse» marquée par le décès de deux amis en dix jours et par l'inquiétude pour la santé de son père, qui a été opéré dans son pays natal, l'Afrique du Sud, rapporte l'hebdomadaire «Paris Match».

À la source de sa tristesse, dit-elle, se trouve le mal du pays. Bien que son frère Mike Wittstock et sa famille vivent également dans son pays d'adoption, Monaco, la princesse regrette de vivre loin. «J'ai le privilège d'avoir cette vie, mais ma famille et mes amis en Afrique du Sud me manquent et je suis souvent triste parce que je ne peux pas toujours être là pour eux», précise-t-elle.

En février dernier, elle a emmené ses enfants pour la première fois en Afrique du Sud.

«Je rêvais depuis longtemps de les y emmener, de leur montrer l'Afrique du Sud, certes, mais aussi Benoni, la ville où j'ai grandi», a-t-elle confié. «Les enfants étaient impatients de voir leur grand-père et leur grand-mère. Dans l'avion, quand nous sommes arrivés, nous étions tous les trois à regarder par le hublot et Jacques s'est écrié: "Waouh, c'est le pays d'où tu viens, maman? Il est si grand!" C'était très émouvant pour moi.»

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