Là où porte le regard...Qu'est-ce qui fait un beau derrière? Une étude scientifique surprenante!
Valérie Passello
31.10.2024
Contrairement aux précédentes conclusions tirées en la matière, il semblerait qu'une taille fine et de grosses fesses ne soient plus des critères pris en compte par les observateurs pour déterminer la beauté d'un popotin. Une étude relayée dans le «Daily Mail» casse les codes.
Rédaction blue News
31.10.2024, 15:29
31.10.2024, 15:30
Valérie Passello
Sur quels critères se base-t-on pour distinguer une belle paire de fesses d'un derrière quelconque? C'est pour répondre à cette question cruciale que des experts européens ont recruté 67 personnes hétérosexuelles - 60% de femmes, 40% d'hommes- afin de décrypter comment leur regard se posait sur des fessiers exclusivement féminins. Le «Daily Mail» révèle les conclusions de cette étude, menée pour une revue de chirurgie esthétique.
Au programme: l'observation de sept paires de fesses, présentées aux participants sous différents angles. Et pendant ce temps-là, une caméra filmait les mouvements d'yeux des cobayes, pour déterminer où et combien de temps leur regard se posait sur les postérieurs.
Pas une question de taille!
D'autres études similaires parvenaient jusqu'ici à la conclusion qu'une taille fine assortie de grosses fesses représentait le combo gagnant de l'esthétisme callypige. En tout cas du point de vue des hommes.
D'ailleurs, des icônes comme Kim Kardashian n'ont pas hésité à forcir le trait au bas de leur dos, suivies dans leur sillage par des bancs entiers de starlettes de téléréalité.
Mais l'étude en question vient contredire ce que l'on croyait jusqu'ici. En fait, les observateurs ont tous focalisé leur regard sur la fente interfessière! Tant les hommes que les femmes participant à l'étude se sont concentrés sur cette zone, de surcroît la première chose qu'ils ont regardée, s'y attardant plus que sur d'autres secteurs.
Changement sociétal?
«Biologiquement, les humains peuvent être programmés pour remarquer des attributs physiques spécifiques qui, historiquement, ont signifié l'aptitude à la reproduction», écrivent les scientifiques.
Mais ce revirement inattendu pourrait carrément révéler «une évolution des paramètres de l'attirance dans la société contemporaine», soulignent encore les auteurs de l'étude.
Cela dit, les résultats obtenus se basent sur un nombre trop faible de personnes pour pouvoir en tirer des conclusions définitives. D'autres études devraient être menées pour confirmer ou infirmer ces observations. Enfin, un autre paramètre est à prendre en compte, est-il précisé dans le «Daily Mail»: les fesses soumises aux 67 observateurs étaient couvertes d'un sous-vêtement, ce qui pourrait avoir influencé les résultats.