Ni le sien, ni celui de sa familleDécouverte de deux ADN partiels dans l'affaire du petit Émile
Maxime Levy, RTL, rtl.fr
29.11.2024 - 23:17
Deux ADN humains non identifiés ont été découverts sur les restes et les vêtements d'Émile, selon les informations obtenues par «RTL».
29.11.2024, 23:17
29.11.2024, 23:23
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Deux traces d'ADN humain, non identifiées, ont été découvertes par les experts du laboratoire d'hématologie médico-légale de Bordeaux lors de l'analyse des ossements et des vêtements d'Émile, retrouvés en mars et avril derniers, annonce «RTL».
Selon des sources concordantes, ces ADN ne correspondent ni à celui d'Émile ni à ceux de sa famille.
Les traces retrouvées sont en quantité infime et dégradées, ce qui ne les rend que partiellement exploitables: ceci complique l'identification précise des individus potentiellement liés à ces traces.
Le Général Hubert Bonneau, Directeur général de la gendarmerie nationale, a déclaré sur «RTL» que les enquêteurs travaillent intensément, mobilisant 20 militaires en permanence. Il a souligné que toutes les pistes restent ouvertes, allant de l'accident à l'homicide volontaire.
Possible contamination
Bien que ces traces ADN puissent sembler suspectes, il est également possible qu'elles résultent d'une contamination. Les vêtements et les ossements ont été manipulés à plusieurs reprises, notamment lors de leur découverte par une randonneuse le 30 mars et lors des premières analyses effectuées.
Malgré les précautions prises par les experts, une contamination accidentelle reste possible. Un spécialiste explique que l'humidité et le temps peuvent rendre les équipements de protection poreux, permettant à des cellules de s'échapper. En plus de l'ADN, les enquêteurs examinent l'environnement où les restes ont été trouvés et analysent les données téléphoniques locales.
Cet article a été rédigé à l'aide d'une intelligence artificielle (IA). Tous les contenus repris de l'IA sont vérifiés par la rédaction.