Froid dans le dos Elle meurt, se réveille à ses funérailles, puis re-meurt...

Au Pérou, une femme a interrompu son propre enterrement en frappant sur les parois de son cercueil. Emmenée à l'hôpital par des membres de sa famille, sous le choc, elle a été déclarée vivante. Avant de décéder, définitivement cette fois, quelques heures plus tard.

L'histoire, relayée par le Daily mail, a de quoi faire frémir. C'est celle de Rosa Isabel Cespede Callaca, qui a été déclarée morte après un accident de voiture au Pérou. Dans la peine, ses proches ont alors organisé une cérémonie pour lui dire un dernier adieu. 

Mais l'enterrement ne s'est pas déroulé comme prévu. Alors qu'ils transportaient son cercueil, des membres de sa famille ont été stupéfaits d'entendre la «défunte» cogner les parois de la boîte, pour signifier qu'elle était en vie!

Sous le choc, l'assemblée a aussitôt entrepris d'ouvrir le cercueil de Rosa Isabel. Cité par le média britannique, le gardien du cimetière témoigne: «Elle a ouvert les yeux et transpirait. Je suis immédiatement allé à mon bureau et j'ai appelé la police».

Famille en colère

La malheureuse a été transportée d'urgence à l'hôpital, où les médecins ont constaté qu'elle présentait bel et bien de faibles signes vitaux. Son état s'est légèrement amélioré une fois sous assistance respiratoire.

Mais le miracle espéré par la famille n'a finalement pas eu lieu. Quelques heures plus tard, Rosa Isabel s'est éteinte définitivement. Indignés et très en colère, les proches ont cherché à comprendre pourquoi la Péruvienne de 36 ans a été déclarée morte alors qu'il n'en était rien. 

A priori, les médecins auraient confondu coma profond et décès. La police enquête actuellement pour savoir si le personnel de l'hôpital s'est rendu coupable de négligence en l'envoyant à la morgue sans examen approprié.