Une poudreuse paradisiaqueA la découverte des pentes de neige épaisse de l’ouest du Canada
Bernhard Krieger, dpa/uri
7.12.2019
A la découverte des pentes de neige épaisse de l’ouest du Canada
Les sauts périlleux sont également de la partie: l’arrière-pays de Lake Louise est un terrain de jeu pour freeriders.
Photo: Jamie Walter/Travel Alberta/dpa-tmn
Les prestataires d’héliski comme Northern Escape tiennent leurs propres chalets dans les montagnes, depuis lesquels les hélicoptères décollent vers les sommets.
Photo: Northern Escape Heli-Skiing/dpa-tmn
Des sensations fortes entre les arbres sur la neige épaisse: le «tree skiing» est le nom donné par les Nord-Américains au ski de descente en forêt.
Photo: Paul Morrison/Northern Escape Heli-Skiing/dpa-tmn
Autour de Revelstoke, le prestataire Selkirk Tangiers Heli Skiing emmène les freeriders vers des pentes vierges dans les Rocheuses – et les récupère après chaque descente.
Photo: dpa
Norman Kreutz est le directeur de l’école de ski de la station SilverStar, en Colombie-Britannique.
Photo: Bernhard Krieger/dpa-tmn
Les adeptes du catski sont amenés en haut de la montagne par une dameuse, appelée «cat» en Amérique du Nord.
Photo: Bernhard Krieger/dpa-tmn
Les pilotes d’hélicoptère ne se dirigent pas vers n’importe quels sommets: les groupes ne sont déposés qu’à des endroits connus.
Photo: Danny Stoffel/CMH Heli-Skiing/dpa-tmn
Dans la poudreuse jusqu’à la hanche: beaucoup de skieurs rêvent de telles descentes hors-piste.
Photo: Danny Stoffel/CMH Heli-Skiing/dpa-tmn
Dans la chaîne Côtière, au Canada, où opère le prestataire d’héliski Bella Coola Heli Sports, d’énormes quantités de neige tombent chaque année.
Photo: Bruce Rowles/Bella Coola Heli Sports/dpa-tmn
La petite ville de Banff donne son nom au parc national de Banff, où se trouvent les célèbres stations de ski Lake Louise et Sunshine Village.
Photo: Mike Seehagel/Travel Alberta/dpa-tmn
A la découverte des pentes de neige épaisse de l’ouest du Canada
Les sauts périlleux sont également de la partie: l’arrière-pays de Lake Louise est un terrain de jeu pour freeriders.
Photo: Jamie Walter/Travel Alberta/dpa-tmn
Les prestataires d’héliski comme Northern Escape tiennent leurs propres chalets dans les montagnes, depuis lesquels les hélicoptères décollent vers les sommets.
Photo: Northern Escape Heli-Skiing/dpa-tmn
Des sensations fortes entre les arbres sur la neige épaisse: le «tree skiing» est le nom donné par les Nord-Américains au ski de descente en forêt.
Photo: Paul Morrison/Northern Escape Heli-Skiing/dpa-tmn
Autour de Revelstoke, le prestataire Selkirk Tangiers Heli Skiing emmène les freeriders vers des pentes vierges dans les Rocheuses – et les récupère après chaque descente.
Photo: dpa
Norman Kreutz est le directeur de l’école de ski de la station SilverStar, en Colombie-Britannique.
Photo: Bernhard Krieger/dpa-tmn
Les adeptes du catski sont amenés en haut de la montagne par une dameuse, appelée «cat» en Amérique du Nord.
Photo: Bernhard Krieger/dpa-tmn
Les pilotes d’hélicoptère ne se dirigent pas vers n’importe quels sommets: les groupes ne sont déposés qu’à des endroits connus.
Photo: Danny Stoffel/CMH Heli-Skiing/dpa-tmn
Dans la poudreuse jusqu’à la hanche: beaucoup de skieurs rêvent de telles descentes hors-piste.
Photo: Danny Stoffel/CMH Heli-Skiing/dpa-tmn
Dans la chaîne Côtière, au Canada, où opère le prestataire d’héliski Bella Coola Heli Sports, d’énormes quantités de neige tombent chaque année.
Photo: Bruce Rowles/Bella Coola Heli Sports/dpa-tmn
La petite ville de Banff donne son nom au parc national de Banff, où se trouvent les célèbres stations de ski Lake Louise et Sunshine Village.
Photo: Mike Seehagel/Travel Alberta/dpa-tmn
Loin des pistes: une fois que l’on a goûté au bonheur d’une balade dans la poudreuse, on en redemande – et à un moment donné, on rêve de s’élancer dans la légendaire «Champagne Powder».
Presque en apesanteur, le skieur danse en dévalant la piste à Revelstoke. Il plonge presque jusqu’à la hanche avant de décoller de la neige qui vole en éclats. Ses skis glissent en rythme dans la poudreuse, comme sur une piste bosselée invisible, devant la majestueuse toile de fond constituée par la chaîne Selkirk. De telles descentes rendent accro à la poudreuse.
Le terme nord-américain «Powder», désignant une neige particulièrement sèche, est établi depuis longtemps dans le milieu local du ski et du snowboard. Les skieurs hors-piste qui dévalent la poudreuse se font appeler «freeriders». La sensation de liberté qu’ils ressentent lorsque les slaloms dans la neige vierge loin des pistes inonde leur corps d’hormones du bonheur et résonne déjà dans ce nom.
Néanmoins, dans les Alpes, une région densément peuplée avec des vallées étroites, peu d’espaces refuges pour les animaux sauvages et des massifs montagneux souvent escarpés, l’espace pour le nombre croissant de freeriders et de randonneurs est limité. En outre, la proximité des mers rend la neige relativement humide et lourde.
En revanche, la poudreuse n’apparaît qu’en cas de chutes de neige abondantes, avec un air sec et froid. L’ouest du Canada, qui réunit ces conditions, attire les mordus de neige épaisse.
Des destinations pour les skieurs et les snowboarders nostalgiques
«Les provinces de l’Alberta et de la Colombie-Britannique sont de véritables destinations de rêve pour les skieurs et les snowboarders, affirme Norman Kreutz. Le directeur de l’école de ski de SilverStar Resorts, en Colombie-Britannique, sait de quoi il parle: la famille de cet instructeur en chef expérimenté de l’Alliance des moniteurs de ski du Canada est originaire de Cologne.
Mais ce ne sont pas seulement la poudreuse et les chutes de neige de huit à douze mètres par an en moyenne que les amateurs européens de sports d’hiver viennent chercher au Canada. «Il y a aussi le nombre infini de possibilités de pratique sur un terrain non préparé», explique Norman Kreutz.
Dans les domaines skiables nord-américains, on n’est pas obligé de rester sur les pistes. Toute la zone est libre d’accès et surveillée par la Patrouille canadienne de ski, à l’affût des avalanches et autres dangers. En outre, certaines pentes ne sont pas préparées après des chutes de neige nocturnes. Ceci permet de skier sur une neige épaisse dans des secteurs sécurisés.
Du slalom hors-piste en pleine nature
A SilverStar, les nombreuses descentes en forêt sont un eldorado pour les connaisseurs. Le «tree skiing» est le nom donné par les Nord-Américains au ski pratiqué dans les forêts, beaucoup plus clairsemées qu’en Europe. Les arbres géants n’ont généralement pas de branches sur le quart inférieur de leur tronc, ce qui laisse beaucoup d’espace entre des arbres très éloignés les uns des autres. «C’est parfait pour notre slalom en pleine nature», indique Norman Kreutz.
Les domaines skiables de Lake Louise et Sunshine Village, dans la province de l’Alberta, proposent des descentes en forêt et sur terrain particulièrement jolies. Les célèbres stations de ski du parc national de Banff se situent au cœur des Rocheuses.
A l’ouest de la crête principale, les secteurs légendaires de la «Powder Highway», prisés des amateurs de neige épaisse, se rejoignent. Depuis Fernie, elle mène jusqu’à Whitewater et Red Mountain au sud-ouest, où opère Big Red Cats, le plus grand prestataire mondial de catski, mais aussi jusqu’à Revelstoke au nord-ouest, en passant par Panorama et Kicking Horse.
Le royaume de l’héliski et du catski
Revelstoke, petite ville bordant le Columbia, offre des possibilités infinies de freeride dans le domaine skiable et tout autour, dans les chaînes Selkirk et Monashee. A plusieurs kilomètres de la ville la plus proche, on trouve souvent des chalets réservés à l’héliski et au catski.
Ces deux pratiques ont été inventées en Colombie-Britannique. Les héliskieurs sont transportés en hélicoptère jusqu’au sommet, à partir duquel ils dévalent des pistes vierges jusqu’à la vallée; généralement, ils sont menés par un guide de ski de montagne et portent un équipement de protection contre les avalanches. Quant aux catskieurs, ils sont transportés jusqu’en haut de la montagne par une dameuse, appelée «cat» en Amérique du Nord.
A l’heure actuelle, l’ouest du Canada est le centre névralgique de l’héliski et Revelstoke en est sa capitale. CMH Heli Skiing, qui a inventé l’héliski et qui domine le marché, tient cinq chalets à Revelstoke et dans ses environs. Le maître des lieux, Selkirk Tangiers Heli Skiing, part directement de la sortie de la ville. L’entreprise, qui appartient à la station de ski de Revelstoke, propose des forfaits d’une ou deux journées, comme Purcell à Golden ou RK à Panorama.
«Le forfait journalier d’héliski est idéal pour tous ceux qui veulent y aller prudemment», explique Andrew McNab, guide chez Selkirk Tangiers. En effet, beaucoup d’Européens éprouvent une grande appréhension au sujet du ski en pleine nature, indique-t-il. En fin de compte, chez eux, la plupart des gens parcourent surtout des pentes préparées, concède Andrew McNab, qui estime toutefois que «ceux qui maîtrisent les pistes noires sans problème et qui sont en bonne forme physique n’ont pas à s’inquiéter».
Pas de poudreuse sans préparation
Néanmoins, il faut se préparer avec un entraînement de force et d’endurance et travailler sa technique sur les skis. «De nombreuses écoles de ski proposent pour cela des camps d’entraînement sur neige épaisse ou des cours particuliers, ainsi que des cours de sécurité», rapporte Thomas Braun de la Fédération allemande de ski (DSV). L’ancien freestyler de classe mondiale Ernst Garhammer propose ainsi depuis plusieurs années des cours sur neige épaisse, principalement dans les Alpes.
L’offre existe aussi au Canada. CMH Heli Skiing propose par exemple des semaines spéciales pour les héliskieurs débutants. Stumböck Club, pionnier allemand des voyages pour skieurs au Canada, propose des safaris à ski en groupe: les guides initient les clients au ski sur terrain non préparé dans le domaine skiable avant le point d’orgue du voyage, la découverte de l’héliski avec Selkirk Tangiers à Revelstoke.
A Revelstoke, Nigel Harrison de l’école de ski Section 8 organise régulièrement des camps. Tout comme Darryl Bowie, qui officie pour Extremely Canadian à Whistler ou encore Ernst Garhammer, le Canadien était autrefois l’un des meilleurs freestylers au monde. Aujourd’hui, il donne des cours d’un ou deux jours aux skieurs qui veulent explorer leurs limites dans le plus grand domaine skiable du Canada. «Nos clients doivent apprendre à skier non seulement sur des pentes plus escarpées, mais aussi de façon plus sûre», explique-t-il. Plus on est en confiance, plus on profite de la nature et du sport, ajoute-t-il.
Des sommets jamais choisis au hasard
En héliski, l’ascension de la montagne est déjà une expérience en soi. Le survol de gigantesques glaciers et de sommets bizarres est impressionnant. Dès que l’hélicoptère a posé le groupe sur un petit plateau, il disparaît en plongeant à toute vitesse dans la vallée.
Sans guides expérimentés et très bien formés, la plupart des skieurs se perdraient probablement dans ce no man’s land blanc. Mais les accompagnateurs gardent tout sous contrôle, car ils ne laissent pas les pilotes se diriger vers n’importe quel sommet tentant. Tous les sites d’atterrissage sont cartographiés, ainsi que les descentes le long de crevasses, de pentes avalancheuses et de corniches.
Malgré un risque résiduel qui ne peut jamais être exclu, l’héliski est probablement la forme de freeride la plus sûre. Contrairement à la randonnée, les passages présentant un risque d’avalanche sont simplement survolés et seules les pentes les plus sûres et les plus intéressantes sont parcourues. Et puisque la sécurité prime, les clients doivent suivre une formation aux situations d’urgence et porter un équipement complet de protection contre les avalanches.
L’héliski a un prix
L’héliski permet de vivre des expériences sur la poudreuse qui ne sont réservées autrement qu’aux randonneurs parfaitement conditionnés. Mais alors qu’ils ne font généralement qu’une seule descente de rêve par jour, le freeride avec transport en hélicoptère permet d’en effectuer dix à quinze. Mais cela a un prix: une journée d’héliski coûte environ 800 euros (environ 880 francs), une semaine entière au moins 6000 euros (environ 6600 francs) – il faut également débourser la moitié de cette somme pour s’adonner au catski.
Ce plaisir exclusif sur les skis a aussi son prix pour la nature, fustigent les défenseurs de l’environnement, qui déplorent les émissions de CO2 causées par les trajets en avion et en hélicoptère ainsi que l’impact de ces pratiques sur la nature. Les critiques sont toutefois plus virulentes en Europe qu’au Canada, où les associations de défense de l’environnement ont plutôt les industries du pétrole, du gaz et du bois dans le viseur.
Contrairement à ce que l’on connaît dans les Alpes, les prestataires d’héliski au Canada opèrent dans des régions pratiquement désertiques. S’ils voient des animaux, la zone correspondante doit être contournée dans un rayon de cinq kilomètres. C’est ce que précise l’association regroupant les entreprises du secteur.
Des zones plus vastes que les Alpes allemandes
La plupart du temps, cependant, il existe de toute façon des solutions de rechange. En moyenne, une zone d’héliski s’étend sur environ 2000 km², alors que les plus vastes atteignent plus de 13 000 km². A titre de comparaison, selon l’Office bavarois de protection de l’environnement, les Alpes bavaroises couvrent une superficie de 4200 km².
Les zones d’héliski les plus vastes et les plus enneigées se trouvent dans la chaîne Côtière, dans le nord de la Colombie-Britannique, où opèrent par exemple Northern Escape Heli Skiing et Bella Coola Heli Sports, nommée à plusieurs reprises meilleur prestataire d’héliski aux World Ski Awards.
«Ici, nous avons entre 25 et 30 mètres de neige par an», s’enthousiasme Tim Wilkinson, du prestataire Bella Coola Heli Sports. John Forrest, le fondateur de Northern Escape Heli Skiing, mentionne un autre avantage: ailleurs, lorsque les hélicoptères ne peuvent pas voler à cause des nuages épais, du brouillard ou d’une tempête, les skieurs attendent de meilleures conditions météorologiques. Mais avec John Forrest, ils dévalent la poudreuse. Northern Escape Heli Skiing dispose de dameuses pour remplacer les hélicoptères pendant ces journées.
«Nous pouvons ainsi garantir une pratique sur de la neige vierge quasiment tous les jours», promet John Forrest. Après tout, c’est pour cela que les Européens ont fait tout ce chemin.
«The Moment» de Yongqing Bao (Chine), vainqueur ex-æquo de la catégorie «Comportement des mammifères» et lauréat du prix du «Photographe animalier de l’année»: la photo prise au Tibet montre une marmotte surprise après son hibernation par une renarde et ses trois petits.
Photo: Yongqing Bao/Wildlife Photographer of the Year 2019
«The Equal Match» d’Ingo Arndt (Allemagne), vainqueur ex-æquo de la catégorie «Comportement des mammifères»: un puma attaque un guanaco, un animal du genre Lama, dans la région de Torres del Paine en Patagonie, au Chili.
Photo: Ingo Arndt/Wildlife Photographer of the Year 2019
«Last Gasp» d’Adrian Hirschi (Suisse), lauréat du prix de reconnaissance dans la catégorie «Comportement des mammifères»: un hippopotame mâle attrape un jeune hippopotame au bord du lac Kariba, au Zimbabwe. L’hippopotame tente tout d’abord de noyer le petit, avant d’achever l’infanticide en l’écrasant avec ses mâchoires.
Photo: Adrian Hirschi/Wildlife Photographer of the Year 2019
«Face of Deception» de Ripan Biswas (Inde), vainqueur de la catégorie «Portrait animal»: une minuscule araignée-crabe imite une fourmi, une espèce faisant partie de ses proies.
Photo: Ripan Biswas/Wildlife Photographer of the Year 2019
«Pondworld» de Manuel Plaickner (Italie), vainqueur de la catégorie «Comportement des amphibiens et reptiles»: des grenouilles se reproduisent dans un étang du Tyrol du Sud.
Photo: Manuel Plaickner/Wildlife Photographer of the Year 2019
«Land of the Eagle» d’Audun Rikardsen (Norvège), vainqueur de la catégorie «Comportement des oiseaux»: depuis une cachette bien protégée, le photographe est parvenu à immortaliser le décollage d’un aigle royal.
Photo: Audun Rikardsen/Wildlife Photographer of the Year 2019
«The Garden of Eels» de David Doubilet (Etats-Unis), vainqueur de la catégorie «Vie sous-marine»: colonie d’anguilles de jardin dans un récif de corail au large des Philippines.
Photo: David Doubilet,/Wildlife Photographer of the Year 2019
«The Architectural Army» de Daniel Kronauer (Etats-Unis), vainqueur de la catégorie «Comportement des invertébrés»: une colonie de fourmis s’étend sur 400 mètres au Costa Rica. Ce nid abrite la reine et les larves.
Photo: Daniel Kronauer/Wildlife Photographer of the Year 2019
«Snow-Plateau Nomads» de Shangzhen Fan (Chine), vainqueur de la catégorie «Animaux dans leur environnement»: sous des températures glaciales, un troupeau d’antilopes du Tibet, une espèce menacée, se fraie un chemin à travers le désert de Kumukuli dans la réserve naturelle nationale d’Altun Shan (Chine).
Photo: Shangzhen Fan/Wildlife Photographer of the Year 2019
«Tapestry of Life» de Zorica Kovacevic (Serbie/Etats-Unis), vainqueur de la catégorie «Plantes et champignons»: les branches d’un cyprès de Monterey en Californie sont envahies par des algues. La couleur orange est apportée par des pigments appelés caroténoïdes. Les tresses grises sont un mélange d’algues et de champignons.
Photo: Zorica Kovacevic/Wildlife Photographer of the Year 2019
«The Freshwater Forest» de Michel Roggo (Suisse), lauréat du prix de reconnaissance dans la catégorie «Plantes et champignons»: souches fines du genre Myriophyllum dans le lac de Neuchâtel.
Photo: Michel Roggo/Wildlife Photographer of the Year 2019
«The Rat Pack» de Charlie Hamilton James (Royaume-Uni), vainqueur de la catégorie «Faune urbaine»: des rats grouillent à l’entrée d’un égout à New York. Leurs ancêtres sont arrivés aux Etats-Unis avec les Européens.
Photo: Charlie Hamilton James/Wildlife Photographer of the Year 2019
«Creation» de Luis Vilariño Lopez (Espagne), vainqueur de la catégorie «Environnements terrestres»: de la lave s’échappe du Kilauea (Hawaï) et coule dans l’océan Pacifique.
Photo: Luis Vilariño Lopez/Wildlife Photographer of the Year 2019
«Snow Exposure» de Max Waugh, (Etats-Unis), vainqueur de la catégorie «Noir et Blanc»: un bison affronte une tempête de neige dans le parc national de Yellowstone, aux Etats-Unis.
Photo: Max Waugh/Wildlife Photographer of the Year 2019
«Humming Surprise» de Thomas Easterbrook (Royaume-Uni), vainqueur de la catégorie «10 ans et moins»: un moro-sphinx aspire le nectar d’une plante de sauge en France.
Photo: Thomas Easterbrook/Wildlife Photographer of the Year 2019
«Night Glow» de Cruz Erdmann (Nouvelle-Zélande), vainqueur de la catégorie «11-14 ans»: cliché nocturne d’un calmar de récif.
Photo: Cruz Erdmann/Wildlife Photographer of the Year 2019
«Early Riser» de Riccardo Marchgiani (Italie), vainqueur de la catégorie «15-17 ans»: un gélada femelle escalade un rocher au lever du soleil avec son petit en Ethiopie.
Photo: Riccardo Marchgiani/Wildlife Photographer of the Year 2019
«The Huddle» de Stefan Christmann (Allemagne), vainqueur de la catégorie «Portfolio»: plus de 5000 manchots empereurs s’amassent dans la baie d’Atka, dans l’Antarctique. Ils doivent couver les œufs à des températures descendant jusqu’à -40 °C.
Photo: Stefan Christmann/Wildlife Photographer of the Year 2019
«Frozen Moment» de Jérémie Villet (France), lauréat du prix de l’«étoile montante» pour son portfolio: deux mouflons de Dall mâles se disputent un territoire dans le Yukon, au Canada.
Photo: Jérémie Villet/Wildlife Photographer of the Year 2019
«Another Barred Migrant» d’Alejandro Prieto (Mexique), lauréat du prix du photojournalisme animalier dans la catégorie «Meilleure image individuelle»: dans l’Etat américain de l’Arizona, l’image d’un jaguar, une espèce presque éteinte dans la région, a été projetée sur un tronçon de la barrière frontalière entre les Etats-Unis et le Mexique. Le mur frontalier proposé par Donald Trump devrait avoir un impact très négatif sur les populations d’animaux sauvages.
Photo: Alejandro Prieto/Wildlife Photographer of the Year 2019
«Show Time» de Jasper Doest (Pays-Bas), lauréat du prix du photojournalisme animalier dans la catégorie «Meilleur reportage»: le singe Riku s’est produit trois fois par jour pendant 17 ans dans un théâtre de comédie de Tokyo. En 2018, l’animal a finalement été retiré du spectacle.
Photo: Jasper Doest/Wildlife Photographer of the Year 2019
Mit Schmunzel-Garantie: Kuriositäten aus der Welt von blue Sport.
20.10.2024
Jürg Stahl termine son mandat à la tête de Swiss Olympic
Jürg Stahl quittera la présidence de Swiss Olympic à la fin de l'année. Il tire un premier bilan après huit années de mandat marquées notamment par une pandémie et une moisson historique aux JO de Tokyo 2021.
22.10.2024
Alan Roura : «Je repars avec le couteau entre les dents»
Alan Roura n'a que 31 ans, mais il entamera déjà son troisième Vendée Globe le 10 novembre aux Sables d'Olonnes. «Les minutes me semblent interminables, les jours encore plus. J'ai hâte d'être au départ», confie le Genevois à Keystone-ATS.
16.10.2024
Zapped: Kubi veräppelt Kilchsperger
Jürg Stahl termine son mandat à la tête de Swiss Olympic
Alan Roura : «Je repars avec le couteau entre les dents»