Interview Michèle Bernier: «Il est souvent très dur de dire "Je suis cocue"»

Michèle Bernier vient de délivrer avec succès une première salve de représentations de son spectacle Vive demain! à Paris, au Théâtre des Variétés. Dans cette évocation humoristique du temps qui passe et des défis nouveaux qu’impose l’époque, la comédienne délivre un message de foi dans l’avenir et décoche un pied de nez aux déclinistes de tout poil. 

En attendant de la retrouver sur scène prochainement, ses aficionados suisses pourront la voir dans les prochains épisodes de «La stagiaire», la série qui place France 3 en tête des audiences les soirs de diffusion.

Vous venez de jouer votre nouveau spectacle avec succès à Paris. Y a-t-il une tournée de prévue dans les pays francophones?

Oui, on partira en tournée du mois de novembre à la mi-avril prochain. Je n’ai pas encore toutes les dates, mais normalement, comme toujours, on doit se rendre en Suisse, en Belgique… On essaiera aussi d’aller à La Réunion, en outre-mer. Il faut juste essayer de se caler avec l’emploi du temps de chacun, ses contraintes.

Le titre du spectacle Vive demain! est très spontané, direct… Pourquoi ce choix?

Au départ, on est parti sur quelque chose qui était plus: «On nous l’avait dit» ou «On nous avait prévenus», un peu dans cette optique-là – c’est ce dont parle la seconde partie du spectacle: on nous avait dit qu’il fallait faire attention à la surconsommation, on ne l’a pas fait, et maintenant on crie «au secours»! Mais ça ne correspondait pas au fait qu’il faut malgré tout conserver de l’espoir, qu’on a besoin d’avancer, de miser sur l’intelligence humaine et ses possibles fulgurances… «Vive demain!» nous est venu dans le sens de dire qu’on a besoin de croire dans le futur, dans la jeunesse, dans le fait que celle-ci se bouge et porte ses rêves, qu’elle ne cède pas au: «C’est fini, c’est foutu, la fin du monde est pour 2050.» Même dans les pays difficiles, les gens continuent de s’aimer, de procréer: ce qui nous maintient, tous, c’est cet espoir dans la vie. Ça ne veut pas dire du tout qu’on vit dans le monde des Bisounours, au contraire, mais qu’on introduit un peu de positif.

Ce regard positif, vous l’appliquez aussi à vous-même, quand vous évoquez le passage à la soixantaine, le fait de devenir grand-mère…

Moi, j’aime profondément la vie, avec tout ce qu’elle comporte, y compris sa part de moments difficiles et de drames – ne serait-ce que parce qu’on perd les gens qu’on aime. Mais je trouve que la vie est fabuleuse, ce qu’on est, ce qu’on fait, d’avoir un cerveau… Je ne sais pas d’où tout cela vient, je ne suis pas très croyante, mais je trouve tout cela assez incroyable. L’être humain, depuis qu’il est sur terre, a traversé des choses bien plus effrayantes que ce qu’on connaît actuellement, et l’humanité est toujours là. J’ai cette idée folle de penser que des choses meilleures se préparent… Pour écrire le spectacle, avec la co-auteure Marie-Pascale Osterrieth, nous sommes beaucoup allées sur Internet, on a visionné énormément de choses… Il y a plein d’initiatives qui sont prises à travers le monde, de la part de gens qui ont acquis une conscience, pour vivre autrement. Tout le monde ne s’est pas résigné au: «Mon dieu! On n’y arrivera pas.»

Vos spectacles seule en scène font souvent écho aux évènements de votre propre vie, ainsi l’adultère et le divorce dans Le démon de midi, en 2000.

Sa propre vie, c’est la matière première qu’on a à portée de main, quand on réussit à prendre un peu de recul sur soi-même! Le démon de midi, ça a été une coïncidence assez démente, car c’était avant tout une BD de Florence Cestac, qui avait ainsi traduit sa propre histoire d’adultère. Je l’ai ensuite incarné au théâtre, alors que ça croisait ma vie privée, ce qui était dingue! Et ce qui y était dit correspondait aussi à des milliers d’histoires… C’est ce qui a fait le succès de ce spectacle, de se dévoiler ainsi: il est souvent très dur de dire «Je suis cocue», aussi bien pour les femmes que pour les hommes. Entre femmes, on a l’habitude de se parler, mais il y a des choses qu’on ne se dit pas… D’où l’idée d’en faire un spectacle, où j’incarne une femme ordinaire, avec laquelle s’opère un rapprochement, un transfert… De plus au moment du «démon de midi», il y avait cette mode pseudo-psychanalytique de dire que les divorces, les familles recomposées, c’était quelque chose de facile, que tout se passait bien. Alors que ce n’est pas simple, de dire à un enfant qu’il ne verra plus son papa ou sa maman tous les jours, tout ça n’est pas facile, ça prend du temps.

Vous-même avez grandi dans un univers bohème et souvent assez chaotique (le père de Michèle, Georges Bernier alias «Professeur Choron», est le cofondateur des magazines satiriques Hara-Kiri et Charlie Hebdo, souvent en butte alors à la censure des autorités françaises)…

Complètement! Mais moi, on ne me l’a jamais fait ressentir comme tel. Quand on est enfant, on n’a pas la notion des choses, tout dépend de ce que vos parents vous disent ou ne vous disent pas. Les miens m’ont toujours dit: il n’y a pas de problème, j’étais gâtée comme si on était milliardaires. A l’époque, je ne savais pas ce que c’était qu’un chèque sans provisions, alors que mon père se retrouvait pourtant lui dans la merde! C’est plus tard que j’ai appris tout ça, on m’a raconté. «On va y arriver, on va se débrouiller…», disaient mes parents, qui partaient vendre leurs journaux dans la rue en cas d’interdiction: c’était un style de vie différent, un peu comme le vivent sans doute les enfants de forains, ou dans les cirques. De toute façon, vous savez, tant qu’il y a de l’amour, ça sauve de tout! Le reste… Ce ne sont que des nids de poule sur les routes.

On vous sent très épanouie, malgré les épreuves (le divorce, le décès de vos parents).

C’est la vie! Mais ce que mes parents m’ont auparavant donné, la force qu’ils m’ont transmis, c’est ce qui m’a fait telle que je suis. Un enfant va développer son propre caractère, plus tard il va faire ses propres rencontres, ses choix, mais la base, le point d’ancrage, c’est la famille. Les gens réussissent dans la vie à se relever des pires difficultés parce qu’il y a cet endroit où on sait qu’on ne sera pas renié, rejeté, où on peut puiser de la force, se régénérer. Je vois bien cela, avec mes enfants, mes proches, à quel point on se cherche quand on a besoin de se redonner un «coup de jus». Ce point d’ancrage peut aussi être l’amitié: j’ai des amis depuis 40 ans, c’est pareil, c’est d’eux aussi que vient ma force, de même que j’espère aussi donner de cette force à mes amis.

Parlons de «La stagiaire», et de son héroïne, Constance Meyer, au parcours original: agricultrice qui se lance à 50 ans dans une carrière judiciaire…

C’est ce qui m’a attirée dans ce personnage! Je me suis dit que ce n’était pas juste une énième série policière. Pour moi, Constance est un personnage très moderne: je connais ainsi des gens qui, arrivés à 50-55 ans avec leurs enfants qui sont grands, ont eu envie de faire autre chose que ce qu’ils faisaient jusque là, découvrir un autre univers… A 30 ans, on est soucieux de construire une famille, de réussir son insertion professionnelle. Une fois que c’est fait, on se dit: j’aimais le piano, le tricot, n’importe quoi… Pourquoi ne pas me lancer dans cette nouvelle aventure? Grâce à la médecine, au confort dans lequel nous vivons, l’espérance de vie en bonne santé est beaucoup plus longue. En Allemagne, il y a même une centenaire qui s’est présentée à des élections! Donc ce choix de Constance est très moderne. En plus, ce qui est bien, c’est que son mari la soutient. Je trouve ça bien, j’aime le couple qu’ils forment ensemble, qui tient dans le temps, qui fonctionne sur la tendresse, l’humour… C’est ce qu’on essaie de faire transparaître, et je pense que le public aime ça aussi.

Il y aura donc une cinquième saison l’an prochain?

Oui, c’est quelque chose qui se prévoit en amont, car il faut écrire, la préparer… Si ca avait été un échec, tout aurait peut-être été annulé, mais là non, au contraire! On va donc commencer à tourner à partir du 17 juin.

A l’image des «Frangines», le téléfilm à succès en 2002 où vous jouiez une chauffeuse routière, vous interprétez souvent des personnages de femmes issues de milieux populaires, ou de la classe moyenne, et qui ne se laissent pas marcher sur les pieds.

C’est ce qui marche avec les héros ou les heroïnes! C’est la personne qu’on voudrait être, mais qu’on a du mal à être, celui ou celle qui peut dire «merde» à quelqu’un. On se dit tout le temps qu’on est enfermé dans sa vie, qu’on arrive pas à dire les choses… Alors, incarner une femme qui ose, qui se permet, qui n’a pas peur, ca fait un bien fou. Ce sont des personnages qu’on n’attend pas, on est pas dans le coté «sexy», on est plus dans quelque chose qui ressemble à la vraie vie, et qui prend du coup une certaine portée…

On sent souvent dans les personnages que vous campez, votre gouaille, votre humour une certaine filiation avec la troupe du Splendid, quelqu’un comme Josiane Balasko…

Oui, et d’ailleurs, je répète en ce moment une pièce de Josiane, «Un grand cri d’amour», qui se jouera à Paris à partir du mois de mai et sera diffusée sur France 2 en juin, au cours d’une soirée spéciale!

Quatre femmes (dont vous) nominées cette année aux Molières de l’Humour. Un signe des temps?

Quatre femmes avec chacune un style très différent! Sans doute qu’il y a certainement aussi plus de femmes parmi nos pairs, dans ceux qui nous jugent, pour ces nominations… C’est peut-être aussi une manière de dire: «On ne vous a pas toujours gâtées, maintenant c’est à vous de jouer!» Peut-etre une excuse inconsciente, après tout ce qui s’est passé avec «Me Too», dans notre métier, dans le monde artistique, qui a été un peu malmené… Mais ce n’est pas un problème, je trouve ca très bien qu’on dise: «On a un peu déconné» et qu’on veuille remettre les pendules à l’heure!

Ces stars ont plus de 50 ans!

Voir 38 autres images

Ces stars ont plus de 50 ans!

Rayonnante et en pleine forme: c'est ainsi que Lucy Liu apparaissait, il y a quelques mois à peine à New York. Difficile de croire que l'actrice fêtait ses 50 ans le 2 décembre. De fait, pour certaines stars, l'âge ne veut rien dire. Qui sont ces plus de 50 ans qui en jettent? La réponse dans notre galerie photos.

Photo: Getty Images

Elle s'est fait connaître dans «Mulholland Drive» (2001) de David Lynch, on la retrouvait, il y a peu, dans la série Netflix «Gipsy». Si Naomi Watts est très demandée sur les plateaux hollywoodiens, son âge ne l'est, en revanche, pas du tout! Et pourtant, on a peine à croire qu'elle a soufflé sa cinquantième bougie le 28 septembre dernier.

Photo: Getty Images

Eh oui, il fait encore parler de lui comme à l'époque du «Prince de Bel-Air». À peine croyable, mais Will Smith passait la barre des cinquante ans le 25 septembre dernier. Il a d'ailleurs marqué le coup avec un saut à l'élastique au dessus du Grand Canyon, diffusé en live sur sa chaîne YouTube.

Photo: Getty Images

Devinette: reconnaissez-vous cette star, santiags aux pieds, qui met le feu sur la scène? Pouviez-vous imaginer qu'elle a déjà fêté ses cinquante ans?

Photo: Getty Images

Réponse: c'est Kylie Minogue, bingo! La chanteuse australienne a rejoint le club des quinquagénaires le 28 mai, l'année dernière!

Photo: Getty Images

Né à Terrel, au Texas, le 13 décembre 1967, Eric Marlon Bishop s'est fait connaître sous le nom de Jamie Foxx. Le musicien et acteur oscarisé a commencé sa carrière comme comédien et comme splendide mannequin. Il a déjà plus de cinquante ans, on peine à y croire!

Photo: Getty Images

Autrefois sex-symbol, en voilà une qui vieillit avec classe: fini les contorsions pour rentrer dans ses maillots moulants d'Alerte à Malibu, Pamela Anderson, qui ne fait pas son âge, assume ses rides. En 2018, la Canadienne a fêté ses 51 ans.

Photo: Getty Images

C'est l'une des dernières arrivées mais aussi l'une des plus rayonnantes des plus de 50 ans: Julia Roberts a célébré en octobre 2017 son cinquantième anniversaire!

Photo: Getty Images

Nicole Kidman, elle, a clairement été gâtée par la nature, bien qu'elle ait eu recours au bistouri une fois ou deux. Le 20 juin dernier, elle soufflait sa 51e bougie.

Photo: Getty Images

À peine croyable: Kiefer Sutherland a lui aussi passé le cap du demi-siècle, même  plus: décembre 2017, le premier rôle de «24 heures chrono», né Kiefer William Frederick Dempsey George Rufus Sutherland, a fêté ses 51 ans.

Photo: Getty Images

C'est l'un des derniers arrivés au club des vieux, pourtant David Schwimmer ne vieillit pas du tout. Il demeure éternellement le Dr. Ross Geller de Friends. Et ce n'est pas plus mal, car il ne fait pas ses 51 ans.

Photo: Getty Images

Impossible mais vrai: en 2018, la beauté de Hollywood, Salma Hayek fêtait son 52e anniversaire. Ses débuts, elle les a faits dans une télénovela au Mexique, son pays d'origine. Dernièrement, elle était à l'affiche de «Hitman» et «Bodyguard» aux côtés de Ryan Reynolds et Samuel L. Jackson.

Photo: Getty Images

Lorsqu'elle a jailli des flots en 2002 comme James Bond Girl, Halle Berry s'est érigée sex-symbol et femme fatale. Et depuis, rien n'a changé. Le jour de ses cinquante ans, en août 2016, la bombe du septième art affirmait sur Instagram: «J'accueille mes cinquante ans à bras ouvert et je suis pleine de gratitude pour la vie!»

Photo: Getty Images

C'était le grand amour de «Forrest Gump» et la plus classe des first-lady dans «House of Cards»: en avril, Robin Wright a soufflé sa 52e bougie d'anniversaire. Elle a entamé sa carrière comme mannequin et cela se voit aujourd'hui encore!

Photo: Getty Images

Des vêtements excentriques, un style original, c'est sa marque de fabrique. Même à 52 ans, Helena Bonham Carter ne s'interdit rien en termes de look.

Photo: Getty Images

Dans «Spectre» (2005), la sex-symbol Monica Bellucci en a fait baver plus d'un. 50 ans à l'époque, elle est aujourd'hui la doyenne des James-Bond-Girl. Et pourtant, elle n'est pas des moins charmantes.

Photo: Getty Images

La beauté intemporelle de Seniora Bellucci ne fait aucun doute – et elle l'a prouvé récemment lors d'un défilé de mode Dolce & Gabbana. Le 30 septembre, elle fêtait ses 54 ans, à peine croyable.

Photo: Getty Images

Il s'est fait connaître dans le monde entier comme le «Docteur Mamour» dans «Grey's Anatomy». Eh oui, la série culte a bel et bien débuté il y a treize ans déjà! À 52 ans, Patrick Dempsey s'offrent les hobbys dont rêvent les enfants: la course automobile notamment. La clef d'une jeunesse éternelle?

Photo: Getty Images

Cindy Crawford est une véritable beauté pour qui l'âge n'a pas de prise. Cette mannequin, parmi les plus célèbres des années 1990, a fêté en février dernier son 52e anniversaire.

Photo: Getty Images

Devenu célèbre en 1998 avec la série «King of Queens», le comédien Kevin James n'a pas changé depuis 20 ans... si ce n'est qu'il en a aujourd'hui 53.

Photo: Getty Images

En voilà une autre top model éternellement jeune: Linda Evangelista est âgée de 53 ans, qui l'eût cru? Le temps qui passe ne l'empêche en rien de faire son travail.

Photo: Getty Images

On l'a tous connue dans la série culte «Sex and the City» (1998): Charlotte York. Malgré quelques rides autour des yeux aujourd'hui, qui aurait parié que cette actrice a déjà 53 ans?

Photo: Getty Images

En 2015, People Magazine désignait Sandra Bullock comme la «Femme de l'année». À 54 ans, l'actrice est plus resplendissante que jamais.

Photo: Getty Images

Serait-ce parce qu'il n'a pas peur de vieillir? En 2014, Keanu Reeves affirmait lors d'une interview sur Teleschau: «À 40 ans, on se dit pour la première fois: “Okay, je vais vraiment mourir. C'est comme devenir adulte une seconde fois. J'espère juste ne pas mourir demain”. Et à 60 ans, on se dit: “Et puis merde, ouais, je vais mourir. Autant entreprendre tant qu'il en est encore temps”.»

Photo: Getty Images

D'ailleurs, Keanu Reeves partage la même date d'anniversaire que Salma Hayek. Sauf que cette année, il a eu 54 ans. Pas mal, d'autant que ça ne se voit pas!

Photo: Getty Images

En voilà encore un qui ne fait pas son âge même après avoir livré bataille pour la garde de ses six enfants: Brad Pitt a eu 54 ans à la fin de l'année 2017.

Photo: Getty Images

Demi Moore aussi, âgée de 55 ans aujourd'hui, est plutôt bien conservée. Et l'actrice n'hésite pas à partager son secret: un esprit sain dans un corps sain! En revanche, il faut dire qu'elle aussi a eu recours au bistouri.

Photo: Getty Images

L'actrice Julianne Moore irradie d'élégance du haut de ses 57 ans. Le secret d'une beauté rayonnante réside probablement dans son humour! Dans une interview à Die Welt, elle confiait un jour qu'«avec l'âge, la vie devient drôle en soi».

Photo: Getty Images

Elle a passé la barre des soixante ans – mais n'a pas perdu le sex-appeal qu'elle dégageait dans «Basic Instinct» (1992). Dans un entretien au journal Shape, Sharon Stone affirmait cependant: «Je ne veux pas être une beauté intemporelle. Je veux être une femme qui, pour son âge, fait de son mieux». Aucun doute, elle y est parvenue.

Photo: Getty Images

Quelques rides, on en a tous. Andie MacDowell, à 60 ans, est plutôt bien conservée.

Photo: Getty Images

Encore une sexagénaire resplendissante et puissante: Michelle Pfeiffer est époustouflante – l'âge lui va si bien!

Photo: Getty Images

Certes, toutes les interprètes de «Sex and the City» (cf. Kristin Davis plus haut) sont bien conservées. Mais c'est d'autant plus vrai pour Kim Cattrall. Dans le rôle de Samantha Jones, croqueuse d'hommes de la série, l'actrice séduit aussi hors caméra. Rien qu'à la voir, on n'ose même pas prononcer son âge. Disons alors qu'elle a 50 ans... plus 12.

Photo: Getty Images

Du côté des francophones, les quinquagénaires ont aussi la forme: Carla Bruni a fêté ses 50 ans le 23 décembre 2017.

Photo: Keystone

Karine Le Marchand a soufflé ses 50 bougies le 16 août 2018.

Photo: Keystone

En 2018, Céline Dion a fêté ses 50 ans.

Photo: Keystone

Mais comment fait-elle? Pas une ride et l'énergie d'une jeunette! Sophie Marceau non plus ne fait pas 51 ans.

Photo: Getty Images

David Hallyday, dont on a beaucoup entendu parler cette année, a fêté ses 52 ans cette année.

Photo: Keystone

L'acteur Olivier Martinez n'a que quelques mois de plus que son ex-femme Halle Berry. Difficile de croire, là aussi, qu'il a déjà 52 ans.

Photo: Getty Images

Les séries Netflix du printemps à voir absolument!

Voir 3 autres images

Les séries Netflix du printemps à voir absolument!

«Osmosis» est, à la base, une web-série d'anticipation développée pour Arte Creative. Elle a été réalisée par Louis Chiche et est sortie en 2015.

Photo: Netflix

Sous le titre français « Rien de plus grand », le roman sur lequel est basée la série a été publié en 2017 en Suède et traduit dans 29 langues. Il a, entre autres, remporté le prix du Meilleur thriller suédois et le prix Le Point du polar européen 2018.

Photo: Netflix

C'est la jeune actrice Siena Agudong, originaire d'Hawaii et née en 2004, qui jouera la jeune Nicole.

Photo: Netflix