Marina Golovine, dans la série «Double vie».
Dans la série «Double vie», elle incarne une femme coincée dans sa vie, qui découvre qu’elle s’est beaucoup trompée.
Marina Golovine incarne Laurence dans la série «Double vie».
Marina Golovine, Bruno Todeschini et Anna Pieri.
Marina Golovine et Anna Pieri, dans «Double vie».
Marina Golovine, dans «Double vie».
Marina Golovine sur le tournage dde la série.
Marina Golovine et Thibaut Evrard.
Anna Piera (Nina) et Marina Golovine (Laurence), deux femmes trahies.
Marina Golovine et Bruno Todeschini.
La série «Double vie» est diffusée le jeudi soir sur RTS Un.
Marina Golovine en images
Marina Golovine, dans la série «Double vie».
Dans la série «Double vie», elle incarne une femme coincée dans sa vie, qui découvre qu’elle s’est beaucoup trompée.
Marina Golovine incarne Laurence dans la série «Double vie».
Marina Golovine, Bruno Todeschini et Anna Pieri.
Marina Golovine et Anna Pieri, dans «Double vie».
Marina Golovine, dans «Double vie».
Marina Golovine sur le tournage dde la série.
Marina Golovine et Thibaut Evrard.
Anna Piera (Nina) et Marina Golovine (Laurence), deux femmes trahies.
Marina Golovine et Bruno Todeschini.
La série «Double vie» est diffusée le jeudi soir sur RTS Un.
Dans la série «Double vie», diffusée sur RTS Un, elle incarne une femme coincée dans sa vie, que l’on a trahie, et qui n’a cessé de se tromper. Un rôle de composition pour l’actrice genevoise Marina Golovine qui, elle, semble pour le moins dotée d’un tempérament affirmé. Et ce n’est sans doute pas par hasard!
Arrière-petite-fille de l’emblématique Michel Simon, elle a toujours baigné dans l’art et la comédie. Elle confie à «Bluewin» ce qui la fait vivre, la motive, mais aussi ce qu’elle déplore dans le métier.
Pouvez-nous nous présenter la série, en quelques mots?
Ce sont deux femmes qui vont s’apercevoir que leur amoureux les a trahies. Au moment de la mort de ce dernier, on va suivre le deuil de ces femmes, la découverte de sa double vie.
Pour quelles raisons pensez-vous qu’elle plaira au public?
Il y a finalement un message universel, pour les femmes notamment. Laurence, le rôle que j’interprète, est la femme de Marc, avec qui elle a eu deux enfants. A la disparition de son mari, cette femme se demande ce qu’elle a fait de ses rêves, de sa vie. Elle est en fait une petite fille gâtée, bourgeoise, qui s’est enfermée dans ce rôle de mère. Et puis, elle découvre qu’elle n’était pas faite pour ça…
«A la cinquantaine, la ménopause est en quelque sorte la dernière adolescence de la femme.»
A la cinquantaine, la ménopause est en quelque sorte la dernière adolescence de la femme. Elle se rend compte, contrairement aux hommes, d’une sorte de finalité, de «l’aller simple» qui se profile tout d’un coup, hyper rapidement. C’est un moment charnière dans la vie des femmes. Ce n’est pas facile, mais c’est aussi un moment où on peut décider de se délester, de vivre ses rêves, de trouver ce qui est vraiment important, ce qu’on a envie de laisser derrière soi.
Dans la série, Laurence est admirative de Nina, l’autre femme, qui a choisi son boulot… qui est très différente d’elle. Petit à petit, on se rend compte qu’il n’y a pas, dans cette série, le «gentil» et le «méchant», que c’est plus compliqué que ça. Tout le monde a plusieurs facettes. On a envie de suivre ces femmes. Et puis, il y a de l’humour aussi. Les gens peuvent être touchés, bouleversés. Le résultat est vraiment chouette. C’est la première fois que je fais une série et je suis très contente, je suis fière. L’équipe était géniale.
Comment avez-vous préparé ce rôle de femme trahie, qui découvre un si lourd secret de double vie conjugale?
Avec beaucoup de doutes, comme d’habitude. J’aime d’abord apprendre bien mon texte, pour ensuite me sentir libre de le jouer. Cette femme très bourgeoise, j’avais des doutes au début. Et puis le personnage se modèle au fur et à mesure. Et, au final, ça marche très bien. Bruno (Deville, le réalisateur, ndlr), avec qui j’avais déjà travaillé il y a sept ans, dirige extrêmement bien.
Il y a dans la série une scène de nu, plus intime. Comment appréhendez-vous cela?
Ça reste toujours un peu difficile pour moi… Mais je n’en avais qu’une seule, alors je me suis jetée à l’eau.
«Ça donne envie de lui donner une petite paire de claques.»
Il s’agit en effet d’une femme atteignant cinquante ans. A ce propos, que pensez-vous de la récente polémique autour des propos du chroniqueur Yann Moix qui, dans le magazine «Marie-Claire», a déclaré qu’il était «incapable d’aimer une femme de 50 ans», qu’elles étaient «invisibles», etc.?
Ça donne envie de lui donner une petite paire de claques. (rires) Le problème, c’est qu’on ne sait pas si les gens sont en train de faire leur promotion, s’ils cherchent le buzz, ou si c’est de la bêtise… Pour moi, ça n’a aucun intérêt.
«C’est incroyable, cette Riviera. Se lever tous les matins avec ce lac d’où jaillissent ces montagnes.»
Venir tourner en Suisse, dans un si beau cadre que celui de Lavaux, sur la Riviera vaudoise, c’était comme une sorte de retour aux sources pour vous qui êtes Suissesse?
Je ne connaissais pas! Je suis née à Genève, ma mère est dans le Valais. Mais je n’y étais jamais allée… C’est incroyable, cette Riviera. Se lever tous les matins avec ce lac d’où jaillissent ces montagnes, ce voyage immobile juste en regardant. Il n’y a pas une heure où c’est pareil. J’ai beaucoup marché dans les vignes. On a eu la chance d’avoir un temps de rêve, j’ai même pu me baigner. J’ai été scotchée par tant de beauté. J’ai aussi rencontré des gens. Le tournage était épuisant, très condensé, en cinquante jours. Mais on avait les week-ends pour regarder tout ça.
En 2012, vous avez remporté un prix au festival de Soleure pour votre interprétation dans la série «CROM», également réalisée par Bruno Deville. Comment l’avez-vous vécu?
Ça n’a rien changé de spécial. Ça fait plaisir, bien sûr. Le prix était de l’argent, que j’ai dépensé depuis… Là, on y va fin janvier en compétition avec «Double vie».
Vous êtes l’arrière-petite-fille de l’emblématique Michel Simon, c’est une chance ou un poids dans le métier?
C’est une chance, bien sûr. Du point de vue de la richesse intérieure que ça apporte. J’avais 4 ans quand il est mort, alors il ne m’a pas présenté des gens. Mon grand-père était aussi acteur, ma grand-mère poétesse. J’ai baigné dans ce milieu. C’est riche de liberté; on ne m’a jamais dit de finir mes études ou empêché de faire ce que je voulais. On m’a dit «c’est ta passion, vis-la!».
«Je ne suis pas mariée mais j’ai deux filles magnifiques de 15 ans et de 7 ans.»
Quelles sont justement vos autres passions?
J’adore les livres. Je lis en ce moment un livre génial: «Cette maison est la tienne», de Fatima Fahreen Mirza. C’est magique! Et puis, j’ai commencé le livre qu’avait écrit Nelson Mandela. J’adore aussi faire à manger. Je fais partie d’un club de cuisine.
On en sait peu sur votre vie en dehors des plateaux de tournage…
Je ne suis pas mariée mais j’ai deux filles magnifiques de 15 ans et de 7 ans. Je vis avec le papa de la deuxième. J’habite entre le Pays basque, Paris et la Suisse.
«La qualité de vie est bien moins bonne qu’en Suisse...»
Paris, ça vous change de Genève?
Oui, les attentats, ça a été très dur. Ça a enlevé quelque chose: c’était violent, sale… Et puis, quand tu prends le métro, il faut être solide. Ça rend vite triste, de voir cette misère, tous ces gens qui font la manche. Les gens plus speeds, énervés… La qualité de vie est bien moins bonne qu’en Suisse. Les gens sont moins heureux, donc forcément moins sympas. Pour les Suisses, je sais que ce n’est pas toujours évident non plus: la vie est chère, les assurances, les loyers, les embouteillages…
Quels sont vos projets, après la série?
Pour l’instant, il n’y a pas de projet de film. C’est le «tunnel» de cette phase des 50 ans, je crois.
«Je pense que le métier a beaucoup changé. Il y a plus de rôles pour les filles jeunes.»
Parce que c’est plus difficile, vers 50 ans?
Ca commence même avant, vers 40 ans. Je pense que le métier a beaucoup changé. Il y a plus de rôles pour les filles jeunes. Dans un cours de théâtre, il y a 80% de filles. Dans les films, il y a plus de rôles d’hommes. Tu as plus de chance de travailler quand tu es un homme qu’une femme.
Quel rôle souhaiteriez-vous encore incarner, dans l’idéal?
Plus il y a de facettes à jouer, plus c’est intéressant. Avoir des personnages complexes, confrontés à leur destin. Car les femmes s’occupent souvent beaucoup des autres, en oubliant de se préoccuper d’elles-mêmes.
Retrouvez «Double vie», le jeudi soir à 21h10 sur RTS Un. Avec Swisscom TV Air, vous profitez gratuitement de Swisscom TV sur votre ordinateur, votre tablette et votre Smartphone. Ainsi, vous pouvez regarder Swisscom TV, vos enregistrements inclus, où que vous soyez.
Que sont devenus les acteurs de la saga Harry Potter?
Que sont devenus les acteurs de la saga Harry Potter?
En 2011, une des sagas cinématographiques les plus populaires de tous les temps a pris fin au bout de huit opus. Depuis lors, plusieurs acteurs des films «Harry Potter» n'ont pas chômé. D'autres, en revanche, ont disparu de l'écran radar. Nous vous révélons ce que sont devenus les principaux interprètes de la saga.
En 2000, le producteur David Heyman en personne a proposé à Daniel Radcliffe d'auditionner pour le rôle de Harry Potter. Il avait vu le jeune acteur, âgé de dix ans à l'époque, dans l'adaptation BBC du roman de Charles Dickens «David Copperfield». Le réalisateur Chris Columbus l'a lui aussi tout de suite su: «C'est lui, Harry Potter!»
Après avoir incarné le personnage principal dans huit blockbusters, Daniel Radcliffe a rapidement décidé d'emprunter une autre voie à la fin de la saga: refusant de rester éternellement associé au personnage de Harry Potter, il a majoritairement accepté des rôles dans des pièces de théâtre et des films indépendants.
Ainsi, on a notamment pu voir Daniel Radcliffe dans la production «Swiss Army Man», où il incarne un cadavre pétomane, et l'acteur a récemment tourné la série «Miracle Workers». Il y interprète un ange de second rang dont la mission est d'amener deux terriens à tomber amoureux afin d'empêcher l'Apocalypse. La série devrait être diffusée aux États-Unis prochainement.
Elle est certainement l'ancienne interprète de la saga «Harry Potter» qui a le mieux réussi: Emma Watson, qui incarnait Hermione, la meilleure amie de Harry. D'ailleurs, deux des films dans lesquels elle a joué figurent dans la liste des 20 plus grands succès commerciaux de tous les temps – «Harry Potter et les reliques de la mort – 2e partie» et…
... l'adaptation au cinéma du classique de Disney «La Belle et la Bête». Pas étonnant qu'en 2017, Emma Watson ait intégré la liste «Forbes» des acteurs les mieux payés: avec une fortune de 14 millions de dollars américains, elle a pris la 6e place du classement.
Le dernier grand projet figurant dans l'emploi du temps de l'ancienne étudiante en littérature: un rôle principal dans l'adaptation au cinéma du roman «Little Woman», aux côtés de Meryl Streep, Laura Dern et Saoirse Ronan.
Et qu'en est-il du troisième membre du groupe? Ron Weasley, le meilleur ami de Harry Potter, bien évidemment. À l'époque, lorsqu'après le premier film de la saga, on lui avait demandé ce qu'il achèterait avec son cachet, le jeune Rupert Grint avait répondu «une camionnette de glacier». S'il a réalisé son rêve quelques années plus tard, il ne s'est toujours pas reconverti en marchand de glaces.
Même si sur les trois acteurs principaux de la saga «Harry Potter», il est probablement celui qui a eu le plus de mal à décrocher de nouveaux rôles, Rupert Grint se considère toujours comme un acteur. Depuis 2017, il incarne le personnage principal dans la série «Snatch», qui n'est autre que l'adaptation de la comédie de genre de Guy Ritchie. Pour l'instant, il tourne également dans une nouvelle adaptation BBC du roman policier d'Agatha Christie «A.B.C. contre Poirot».
Dans la saga, aucun autre élève de Poudlard n'était aussi méchant que Drago Malefoy. Quand il ne s'en prenait pas à son pire ennemi Harry Potter, l'élève de la maison Serpentard prenait un malin plaisir à embêter son camarade de classe Neuville Londubat, un adolescent plutôt maladroit. En privé cependant, les acteurs Tom Felton (à gauche) et Matthew Lewis s'entendaient…
... manifestement plutôt bien. Récemment, ils ont amusé les fans de «Harry Potter» en apparaissant ensemble sur une photo Instagram: «Enlève tes sales pattes de Serpentard de là, espèce de singe crasseux», a écrit Matthew Lewis (à droite) en légende du cliché. Une vilaine insulte?
Pas du tout! Ici, Matthew Lewis fait plutôt allusion au rôle de Tom Felton dans le blockbuster «La Planète des singes: Les Origines». Récemment, Tom Felton a notamment joué dans la production cinématographique «A United Kingdom» et dans des séries comme «First Murder» ou «Flash».
Matthew Lewis, l'interprète de Neuville Londubat, a lui aussi réussi à se faire une place en tant qu'acteur: s'il n'a décroché que de petits rôles dans des films comme «Avant toi» ou «Terminal», il parvient plutôt bien à boucler ses fins de mois grâce à ses rôles dans les séries «Ripper Street», «Happy Valley» et «Girlfriends».
Richard Harris a passé 43 ans devant la caméra – mais sa carrière dans la saga «Harry Potter» a été plutôt brève: il n'a incarné le directeur de Poudlard Albus Dumbledore que dans «Harry Potter à l'école des sorciers» et «Harry Potter et la Chambre des secrets». L'acteur a succombé à un lymphome de Hodgkin en 2002. Il avait 72 ans.
C'est Michael Gambon, le compatriote irlandais de Richard Harris, qui a alors hérité du rôle d'Albus Dumbledore. Il a fait ses débuts dans la saga avec «Harry Potter et le Prisonnier d'Azkaban». Et ce n'est pas le seul rôle qu'a décroché Michael Gambon dans une adaptation au cinéma d'un roman de J.K. Rowling: il a également participé à la mini-série «Une place à prendre».
Ce vétéran du théâtre est encore très actif – on a ainsi pu le voir au cinéma dans «Confident Royal» ou «Kingsman: Le Cercle d'or», à la télévision dans «Churchill's Secret» ou «The Hollow Crown» ainsi qu'au théâtre.
Tous deux professeurs à Poudlard, ils faisaient preuve d'une grande sévérité à l'égard de leurs élèves – et étaient, chacun à leur façon, des alliés d'Harry Potter dans son combat contre Lord Voldemort: les professeurs Minerva McGonagall et Severus Rogue.
Si l'attitude détestable du professeur Rogue à l'égard de Harry Potter avait tendance à frustrer les fans de la saga, l'acteur Alan Rickman en a lui aussi été affecté pendant longtemps – jusqu'à ce que J.K. Rowling lui révèle un secret qui n'a été dévoilé aux lecteurs de «Harry Potter» que bien des années plus tard: Rogue aimait la mère d'Harry et a soutenu secrètement le jeune garçon pendant toutes ces années. Alan Rickman est décédé d'un cancer en 2016. Il avait 69 ans.
En 2009, le pilier du cinéma britannique qu'est Maggie Smith, alias Professeur Minerva McGonagall, a réussi à vaincre son cancer et évolue toujours devant la caméra à l'âge de 83 ans – elle tourne actuellement le film adapté de la série à succès «Downton Abbey», dans lequel l'actrice oscarisée incarne à nouveau la très incisive Violet Crawley.
Ces dernières années, on avait en revanche plus beaucoup entendu parler de Robbie Coltrane, qui incarnait le gentil demi-géant Hagrid dans la saga «Harry Potter». Et ce n'est pas sans raison…
Ces dernières années, ce poids lourd du cinéma a souffert de graves problèmes articulaires. Il ne pouvait presque plus marcher. Maintenant qu'il s'est remis de son opération du genou, Robbie Coltrane compte bien faire son grand retour: «Nous avons plusieurs projets en cours et attendons les scénarios finaux pour pouvoir continuer notre travail», a récemment confié son agent au quotidien britannique «Express».
Gary Oldman a également plusieurs projets en cours – ce qui n'a rien de très surprenant après l'Oscar qu'il a remporté pour «Les Heures sombres». D'après la base de données sur le cinéma IMDb, l'acteur aurait sept films en préparation, dont «The Laundromat» de Steven Soderbergh. Dans la saga «Harry Potter», Gary Oldman incarnait le mal peigné…
... Sirius Black, le parrain de Harry. Ce dernier venait d'effectuer un long séjour en prison pour un meurtre qu'il n'avait pas commis. D'abord considéré comme malfaisant dans «Harry Potter et le Prisonnier d'Azkaban», tout a changé lorsque le vrai méchant de l'histoire est entré en scène.
Il a fallu attendre le quatrième opus de la saga, «Harry Potter et la Coupe de feu», pour enfin mettre un visage sur cette horrible créature. Et quel visage: Lord Voldemort, l'ennemi juré d'Harry Potter, ressemblait davantage à un extra-terrestre ou à un serpent qu'à un être humain. Derrière tout ce maquillage se cachait…
... Ralph Fiennes. Ce dernier a refusé à plusieurs reprises le rôle du mage noir jusqu'à ce que sa sœur parvienne à lui faire entendre raison. Contrairement à lui, cette dernière a des enfants et était consciente du potentiel de la saga. Son prochain rôle sera également celui d'un méchant de la littérature: dans la comédie «Holmes and Watson», qui sortira au cinéma en janvier prochain, il incarne James Moriarty, l'ennemi le plus redoutable de Sherlock Holmes.
Les fans de la saga «Harry Potter» ont du mal à croire qu'elle a incarné le personnage de Bellatrix Lestrange juste parce qu'Helen McCrory, l'actrice initialement pressentie pour ce rôle, était enceinte: Helena Bonham Carter a fait sensation en tant que bras droit de Voldemort. Pas étonnant que depuis, elle multiplie les gros projets – on a ainsi pu la voir en bonne fée dans «Cendrillon», en reine de cœur dans «Alice au pays des merveilles» ou encore en tant que membre de l'équipe «Ocean's 8».
Et qu'est donc devenu le fidèle serviteur de Voldemort Lucius Malefoy, le père de Drago Malefoy? Son interprète Jason Isaacs a lui aussi été bien occupé ces dernières années – même si les fans de Harry Potter ne l'ont peut-être pas reconnu sans sa perruque blonde.
En 2017, Jason Isaacs a incarné le capitaine Gabriel Lorca dans «Star Trek: Discovery». Au cinéma, on a également pu le voir dans la satire historique «La Mort de Staline» et dans le film d'horreur «A Cure for Life». En octobre, après de longues hésitations, le thriller «London Fields» devrait également sortir au cinéma.
Une nouvelle série avec Gillian Anderson
Une nouvelle série avec Gillian Anderson
Otis (Asa Butterfield) a parfois du mal avec le métier exercé par sa mère Jean (Gillian Anderson), qui travaille en tant que sexologue.
Maeve (Emma Mackey) reconnaît le potentiel d’Otis (Asa Butterfield).
Otis (Asa Butterfield, à gauche) constate avec surprise que ses paroles ont un impact sur Adam (Connor Swindells).
Eric (Ncuti Gatwa) est le seul ami d’Otis (Asa Butterfield).
Aimee (Aimee Lou Wood, à droite) fait partie des filles branchées, mais aime passer du temps avec Maeve (Emma Mackey). En cachette, naturellement.
Jackson (Kedar Williams-Stirling) s’intéresse à Maeve (Emma Mackey).
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