Franck Dubosc «Si mon fils tombe là-dessus, il va me dire : t’es gênant papa»

Covermedia

10.10.2024 - 11:44

Franck Dubosc est papa de deux jeunes adolescents. Interrogé par le média Lou sur son rôle de père, le comédien a avoué en souriant qu'il était un papa « très chiant».

Franck Dubosc est papa de deux jeunes adolescents.
Franck Dubosc est papa de deux jeunes adolescents.
IMAGO/ABACAPRESS
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Quand il s'agit de définir l'éducation qu'il donne à ses fils, Franck Dubosc choisit les cartes de l'humour... et de l'honnêteté! Le comédien de 60 ans est père de Raphaël, 14 ans, et Milhan, 12 ans, issus de son union avec sa femme Danièle en 2009.

Lors de son passage au Concerto pour la Paix organisé par Omar Harfouch sur les Champs-Elysées à Paris, l'acteur s'est récemment ouvert sur sa relation avec ses garçons.

Quand le média Lou lui a demandé quel type de père il est, l'humoriste s'est d'abord qualifié de «cool», avant de se rectifier avec humour: « Non, je ne suis pas cool. Je disais cool pour faire bien, puis tout d'un coup je me suis dit «si mon fils tombe là-dessus, il va me dire: T'es gênant papa!» Oui je suis chiant».

Convaincu de ce fait, Franck Dubosc a ensuite donné plusieurs exemples de ce qui peut le rendre «chiant» aux yeux de ses fils. «Je suis un père chiant, qui cache les manettes de la PlayStation, qui force à faire les devoirs, à faire le bain, à plier la serviette, à éteindre les lumières...», a-t-il précisé, avant d'ajouter avec un sourire: «Je suis chiant. Je suis très chiant».

Et si leur « mère» est responsable de l'aide aux «devoirs», l'humoriste se contente de leur «dire de les faire», car il a « bien prouvé que j'étais nul en maths dès le début».

De leur côté, les jeunes adolescents lui rappellent, selon lui, que son « monde de vieux n'est plus le monde d'aujourd'hui». «Mon fils ne m'appelle pas «papa», il m'appelle «frère» (...) et «wesh frère»», a-t-il confié. «Je lui ai rappelé plusieurs fois que je n'étais pas son frère, mais comme il appelle sa mère aussi «frère», donc je me dis ça va (...) on est tous des «frères»!»