Face à certaines rumeurs Kendji Girac dévoile le choc de sa femme 

Kendji Girac a bénéficié du soutien de sa compagne, Soraya, après un tir qui a bien failli lui être fatal en avril dernier. En évoquant sa convalescence dans l'émission «Un Dimanche à la compagne», le chanteur s'est montré reconnaissant envers sa famille et son public.

Covermedia

25.11.2024, 12:56

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Kendji Girac a révélé que sa femme avait été « choquée» par certaines rumeurs à son sujet.

Le chanteur d'«Andalouse» est revenu dans l'épisode du 24 novembre d'«Un dimanche à la campagne» sur le coup de feu qu'il s'est infligé au thorax, sous l'influence de l'alcool et de stupéfiants, dans la nuit du 21 au 22 avril.

L'ancien gagnant de «The Voice» a confié s'être «coupé de tout pendant un mois» après l'incident afin de se «ressourcer» auprès des siens. Il s'est alors montré reconnaissant envers le soutien de sa famille après l'incident, y compris de sa compagne et de leur fille, Eva Alba, et celui de son public malgré ses quelques mois de silence.

«La seule chose dont j'avais besoin, c'était de ma fille, de ma femme, de ma famille. Bien évidemment, ils ont été là pour moi à ce moment-là. C'est l'amour qui m'a reconstruit à une vitesse incroyable», a-t-il déclaré dans l'émission de France 2. «L'amour de ma famille, de mes proches, même celle du public. J'étais soutenu.»

Or, l'incident, qui a été classé par la justice, a tout de même soulevé de nombreuses questions et engendré quelques rumeurs sur la relation du chanteur avec Soraya.

«Ma femme a été là à chaque moment, à chaque instant. Elle m'a donné de la force et de la tendresse comme jamais», a-t-il poursuivi. «Elle a été un peu choquée de ce qui a été dit sur elle parce que rien n'était vrai. C'est une femme très forte, merveilleuse, qui a réussi à me remettre debout.»

Soraya a fait une mise au point auprès du «Parisien» en mai dernier au sujet des rumeurs sur son couple, affirmant qu'elle était «restée tout le temps» aux côtés du père de sa fille lors de sa convalescence, et qu'elle n'avait jamais subi de «chantage au suicide» ou de «violence» de sa part.