Protocole royalKate et le prince William vont devoir faire face à un choix déchirant
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24.10.2019
Les enfants du Prince William et de Kate sont la première génération de descendants royaux à être affectés par la loi de 2013 sur la Succession à la Couronne: cela pourrait mettre le futur roi dans une position compliauée lorsque George, Charlotte et Louis seront en âge de se marier.
Kate, la duchesse de Cambridge et le prince William sont maintenant les fiers parents du prince George, de la princesse Charlotte et du prince Louis. L'acte de succession de 2013 a supprimé la primogéniture de la préférence masculine, ce qui signifie que la princesse Charlotte est la première princesse à se positionner devant son jeune frère dans le cadre de la succession. Cela signifie aussi que la jeune génération royale de Cambridge est la première à pouvoir épouser un catholique et à conserver ses droits de succession.
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Cependant, un autre changement apporté par la loi pourrait placer George, Charlotte et Louis dans une position «injuste».
L'une des dispositions de la loi prévoit que seuls les héritiers jusqu'au sixième rang du trône doivent demander la permission à la Reine avant de se marier, alors qu'auparavant, tout héritier de la lignée successorale devait demander l'autorisation de Sa Majesté. L'ancienne règle aurait obligé la princesse Beatrice à demander à sa grand-mère avant de se fiancer, ce qu'elle n'a pas eu à faire avant de dire oui, rapporte «Closer»
Toutefois, les nouvelles règles signifient que Charlotte, George et Louis pourraient se trouver dans une situation inhabituelle où les frères et sœurs seraient confrontés à des exigences de protocole différentes.
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Une situation inédite et injuste
En effet, les nouvelles règles signifient que Kate et William pourraient être confrontés à une situation inhabituelle. En tant que roi et reine, ils peuvent se voir confrontés à des exigences différentes selon le rang de naissance de leurs enfants et petits-enfants.
Au cours de la séance du comité où la Loi de 2013 était débattue, le député Christopher Pincher a expliqué: «Si nous mettons en place une règle qui dit que le monarque peut et doit donner son consentement au mariage des six personnes les plus proches du trône, imaginez un scénario où un monarque a trois enfants, qui ont chacun deux ou trois enfants. Le monarque sera bientôt dans la position injuste où le petit-enfant numéro quatre, qui est cinquième en ligne vers le trône, devra demander le consentement du monarque pour se marier, mais le petit-enfant numéro six, qui est septième en ligne vers le trône, n'aura pas à demander ce consentement. C'est totalement injuste!», selon «Express».
Ainsi, Kate et Willian, en tant que monarques, devraient éventuellement accorder la permission de se marier à certains des enfants de la princesse Charlotte mais pas forcément à tous. Ou, ils devront accorder la permission, par exemple, à la princesse Charlotte de se marier mais pas à son frère le prince Louis.
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Actuellement, le prince George est troisième dans l'ordre de succession au trône derrière son père, la princesse Charlotte est quatrième et le prince Louis arrive en cinquième place.
Le prince Harry est actuellement sixième, mais si le duc et la duchesse de Cambridge décident d'avoir d'autres enfants, la place de Harry descendrait dans la hiérarchie. En l'état actuel des choses, si Kate et William décident d'avoir d'autres enfants, la famille Cambridge se retrouverait dans la situation injuste décrite par le député Pincher.
William, Harry et Cie: les notes des membres de la famille royale
William, Harry et Cie: les notes des membres de la famille royale
Le prince William sera roi un jour, quelles qu’aient été ses notes à son certificat de maturité. Mais comment le numéro deux dans l’ordre de succession au trône britannique s’en est-il réellement sorti à ses examens? Et qu’en est-il de sa famille?
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Alors que les élèves suisses ont la maturité, les Britanniques passent l’examen appelé A-level. Les élèves sont évalués dans certaines matières de leur choix – dans l’idéal en gardant en tête les conditions d’accès à leur discipline de prédilection. Le prince William a choisi la géographie, l’art et la biologie.
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La biologie semble avoir été l’épreuve la plus difficile pour lui; il a réussi l’examen avec un C, une note qui équivaut chez nous à un 4. Bien qu’il ait eu sa meilleure note en géographie – un A (6) –, William a choisi un cursus plus proche de sa troisième matière d’examen, à savoir…
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… l’histoire de l’art: William a tout de même eu un B en art (5). Mais son intérêt pour la géographie l’a finalement emporté et au bout de deux ans, le prince a changé de cap pour entreprendre des études dans cette filière. Cette formation initiale interrompue a néanmoins servi.
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C’est en effet au cours de celle-ci que le prince William a fini par tomber amoureux de sa camarade d’études Kate Middleton qui, comme lui, s’était inscrite en histoire de l’art à l’université de St Andrews – mais qui, contrairement à lui, a terminé le cursus.
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Cette fille d’entrepreneurs a eu les notes qu’il fallait: elle a obtenu son A-level avec un A (6) en mathématiques et en arts et un B (5) en anglais.
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La duchesse Meghan était elle aussi considérée comme une élève assidue, même si ses résultats au SAT – le test utilisé pour l’admission aux universités américaines – n’ont pas été transmis. Dans tous les cas, elle a eu des notes suffisamment bonnes pour s’inscrire à l’université Northwestern à Evanston, dans l’Illinois.
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Elle y a non seulement brillamment étudié le théâtre et les relations internationales, mais elle a également acquis des connaissances dans une deuxième langue étrangère, l’espagnol. Elle avait déjà appris le français à l’école.
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Son mari, le prince Harry, était moins curieux à l’école. Contrairement à son frère – et à la plupart des autres diplômés anglais du A-level –, il n’a choisi que deux matières pour une formation approfondie: l’art et la géographie.
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L’ancien prince fêtard a tout de même eu un B (5) en art, mais seulement un D (3) en géographie. Harry a néanmoins brillé en sport, notamment dans les équipes de polo, de cricket et de rugby de son école. C’est donc logiquement qu’après son année sabbatique, il n’est pas allé à l’université, mais directement à l’armée.
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Le prince Charles aurait tant aimé aller à l’école comme ses fils plus tard à Eton. Mais son père, le prince Philip, a insisté pour envoyer l’héritier du trône à Gordonstoun, un internat réputé pour sa rigueur qu’il avait lui-même fréquenté. Une période que Charles aurait décrite un jour comme une «peine de prison».
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Lors de ses examens finaux, Charles a pourtant obtenu des résultats passables: il s’en est sorti avec un C (4) en français et un B (5) en histoire, sa discipline ultérieure à Cambridge.
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La princesse Diana a eu beaucoup de mal à l’école: dans le livre «Diana, chronique intime», la biographe Tina Brown la décrit comme une «élève moyenne» qui, malgré ses aptitudes en sport, manquait de «curiosité intellectuelle».
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En réalité, Diana a été recalée deux fois aux examens finaux en 1977. Par la suite, elle n’a tenu que trois mois à l’institut Alpin Videmanette de Rougemont (canton de Vaud).
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La princesse Eugenie s’est décrite autrefois comme une élève plus travailleuse qu’intelligente – un doux euphémisme, puisque la cousine du prince Harry et du prince William a tout de même obtenu d’excellentes notes.
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Eugenie a eu un A – la note maximale – en art et en littérature et un B (5) en histoire de l’art. Pourtant, sa candidature à l’université de Newcastle a été initialement rejetée. Ce n’est que lorsque son identité a été reconnue qu’elle a été autorisée à commencer ses études en littérature, en histoire de l’art et en politique.
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Sa sœur, la princesse Beatrice, n’a pas non plus à rougir de son examen de maturité: elle a obtenu un A (6) en art dramatique et un B (5) en histoire et en cinéma. Elle a ensuite poursuivi des études en histoire et en histoire des idées, qu’elle a achevées avec succès en 2011.
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Et la reine? Elle n’a pas de certificat de maturité – ni quoi que ce soit d’équivalent. Comme elle n’est jamais allée à l’école, Elisabeth II n’a jamais eu à passer d’examen. Au lieu de cela, elle a été préparée à son futur rôle chez elle.
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Cependant, il ne faut pas commettre l’erreur de la sous-estimer: «La reine était et est toujours très intelligente et curieuse», atteste la biographe Kate Williams. Selon cette dernière, elle fait preuve d’un esprit analytique et d’une mémoire extrêmement nette qui lui ont permis d’embarrasser un certain nombre de Premiers ministres.
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Louis, Estelle et Co.: quelles sont les origines des prénoms royaux?
Louis, Estelle et Co.: quelles sont les origines des prénoms royaux?
Le 9 juillet 2018, l’heure était venue: le plus jeune prince de Grande-Bretagne a été baptisé Louis Arthur Charles. Un choix chargé d’histoire, comme il est de coutume au sein des familles royales. Découvrez dans cette galerie ce que cachent les prénoms des jeunes princes et princesses du Royaume-Uni, de Suède et d’Espagne.
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Le prince William et la duchesse Kate ont créé la surprise en prénommant leur deuxième fils Louis Arthur Charles: Arthur figurait dans les petits papiers des bookmakers britanniques comme prénom d’usage possible, en hommage au roi légendaire et au troisième fils de la reine Victoria. Le choix de Louis, en revanche…
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… n’était pas une évidence, mais a probablement fait le bonheur de son grand-père, le prince Charles, tout autant que l’inscription de son propre prénom sur l’acte de naissance. En effet, le petit Louis a été prénommé ainsi…
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... en hommage à Louis Mountbatten, l’oncle du prince Philip. Louis Mountbatten, qui a servi la couronne comme vice-roi des Indes, a non seulement exercé une grande influence sur le prince Philip, mais a également été pendant longtemps le mentor et le père de substitution de Charles. Le 27 août 1979, Louis Mountbatten a été tué dans un attentat à la bombe commis par l’IRA.
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Le prince George a lui aussi reçu le prénom Louis – mais seulement en troisième position. Comme prénom d’usage, William et Kate ont attribué à leur premier-né un prénom solide de la maison Windsor. George était non seulement le prénom du grand-père de la reine…
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… mais aussi le nom de règne choisi par son père lors de son accession au trône. En privé, George VI était toutefois appelé «Bertie», puisqu’il s’appelait en réalité Albert Frederick Arthur George. Mais à la demande de son arrière-grand-mère, la reine Victoria, il ne devrait plus y avoir de roi Albert en Angleterre – pour que son époux bien-aimé Albert ne soit pas éclipsé.
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Et qu’en est-il du deuxième prénom du petit prince George Alexander Louis? Il s’agit d’un petit signe de révérence non seulement envers l’Ecosse, où trois rois se sont appelés Alexander, mais aussi envers la reine. Son nom complet est Elizabeth Alexandra Mary – la reine Alexandra, sa grand-mère, était très populaire auprès du peuple.
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La reine a ensuite été directement honorée lorsque la première fille de Kate et William a vu le jour en 2015. Son prénom d’usage est peut-être Charlotte, la version féminine de Charles, mais ses prénoms secondaires sont beaucoup plus intéressants aux yeux des fans de la famille royale: Elizabeth et …
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… Diana, bien entendu en hommage la mère du prince William, Lady Diana, décédée en 1997.
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«Laid et inapproprié»: c’est ainsi qu’un expert de la noblesse a jugé à la télévision suédoise en 2012 le prénom que la princesse héritière avait choisi pour sa première fille. Selon l’expert, Estelle sonne comme un nom de reine des boîtes de nuit et n’a une consonance ni suédoise, ni royale. Et pourtant…
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… la maison Bernadotte, dont émane la famille royale suédoise, compte déjà une Estelle: l’épouse de Folke Bernadotte, diplomate aux Nations Unies et petit-fils du roi Oscar II. Elle a dirigé la branche féminine du mouvement scout suédois de 1949 à 1957 et siégé à la Commission des prisonniers de guerre des Nations Unies, en plus de s’être engagée pour la Croix-Rouge internationale, l’Unicef et en faveur des enfants paralysés.
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Pour les prénoms secondaires, en revanche, il n’y avait pas grand-chose à redire: Ewa est le prénom de la grand-mère paternelle d’Estelle et Silvia, celui de sa grand-mère maternelle, la reine Silvia de Suède, à qui ce prénom est naturellement destiné.
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Pour Oscar Carl Olof, le petit frère d’Estelle, inutile de chercher bien loin pour découvrir les références royales. Olof n’est «que» le premier prénom de papa, Daniel, mais deux rois de la maison Bernadotte ont déjà porté le prénom Oscar. Alors que Carl…
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… est évidemment un hommage au grand-père, le roi Carl XVI Gustaf de Suède. Les autres prénoms de Carl Gustaf Folke Hubertus ont déjà été réemployés parmi ses nombreux petits-enfants.
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Son fils, le prince Carl Philip, a par exemple transmis à son premier-né le troisième prénom Hubertus. Le prénom d’usage, Alexander, était probablement tout simplement du goût de Carl Philip et de son épouse Sofia, tandis que le deuxième prénom, Erik, est le prénom du père de Sofia. Et Bertil?
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Bertil est également le quatrième prénom de Carl Philip, en l’honneur de son oncle, le prince Bertil. Il était très apprécié non seulement de Carl Gustaf et de ses trois enfants, mais aussi du peuple suédois.
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Pour leur deuxième fils, Gabriel Carl Walther, Carl Philip et Sofia ont également choisi un prénom d’usage qui leur plaisait simplement et s’en sont remis à la tradition pour les prénoms suivants. Carl n’a pas besoin de plus amples explications, tandis que Walther était le prénom du père de la reine Silvia.
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Le prénom de la mère de la reine Silvia figure en revanche parmi ceux que la princesse Madeleine a donnés à sa plus jeune fille: Alice est le troisième prénom de la petite, alors que le deuxième, Josephine, est également porté par sa maman Madeleine. Et le prénom d’usage, Adrienne? La reine Silvia aurait prétendument souhaité l’attribuer à Madeleine, avant de changer d’avis.
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Nicolas? Bien que Niklas soit très courant en Suède, cette orthographe était un choix plutôt inhabituel pour le petit prince de Madeleine. S’agit-il d’un hommage à la partie américaine de la famille, comme le deuxième prénom Paul? Il n’empêche que Paul O’Neill, grand-père paternel de Nicolas, était un banquier américain.
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Le nom de la première-née de Madeleine, la princesse Leonore Lilian Maria, rend également hommage aux deux parties de la famille: Lilian était la grand-tante de Madeleine, l’épouse du tant apprécié prince Bertil. Mary est en revanche le deuxième prénom d’Eva O’Neill, la mère de Chris, le mari de Madeleine. Et Leonore? Un prénom en vogue du côté des familles royales…
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Si la maison royale néerlandaise compte une Leonore – une nièce du roi Willem-Alexander – il y a aussi une Leonor dans la famille royale espagnole: c’est le prénom de la princesse héritière – et le seul.
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Ce prénom est probablement inspiré d’Aliénor d’Aquitaine, bien qu’elle n’ait jamais été reine d’Espagne, de Suède ou des Pays-Bas, mais reine de France (1137-1152) et d’Angleterre (1154-1189). Elle était considérée comme l’une des femmes les plus influentes du Moyen Âge.
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Il est beaucoup plus facile d’identifier l’origine du prénom de la deuxième princesse espagnole: Sofia, la petite sœur de Leonor, porte bien entendu le prénom de sa grand-mère, l’ancienne reine.
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