Nouvelle bourde Meghan et Harry: pas aussi écologistes qu’ils le prétendent?

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14.7.2020

Meghan et Harry lors de leur visite en Nouvelle-Zélande, en octobre 2018.
Meghan et Harry lors de leur visite en Nouvelle-Zélande, en octobre 2018.
Keystone

Ils s’affichent clairement en défenseurs de la cause écologique. Pourtant, Meghan Markle et le prince Harry ont, à plusieurs reprises, agi comme si polluer leur était indifférent. Trajets en avion ou en grosses voitures… Leur comportement, en désaccord avec leurs propos, interrogent. Le couple princier est-il aussi écolo que ce qu’il dit?

Des convictions affichées haut et fort en faveur du respect de l’environnement. Qu’il s’agisse de Meghan Markle comme du prince Harry, l’écologie est une cause qu’ils ont toujours prétendu défendre. Les époux, qui habitent désormais outre-Atlantique, ont pourtant été épinglés par des paparazziz à bord d’un imposant SUV, un véhicule pour le moins polluant…



Pris la main dans le sac

Ce vendredi 10 juillet, les époux, qui devaient se rendre à un rendez-vous à Los Angeles, ont été photographiés alors qu’ils montaient dans un modèle Escalade de la marque Cadillac, rapporte le «Daily Mail». Un engin à la pointe de la tendance, un véhicule adoré des stars, puisqu’il combine confort, esthétique et rapidité… mais n’est en revanche pas du tout écologique! Une situation en décalage total avec leur engagement commun pour le respect de la nature. Le quotidien britannique souligne en effet que l’engin, avec son moteur de six litres, est «très loin d’être le plus écologique», mais au contraire très polluant. On pourrait mettre cela sur le compte d’une erreur de parcours, mais le couple n’en est pas à sa première bourde…

Des moyens de transport pas très raccords…

En effet, l’été dernier, Meghan et Harry avaient déjà voyagé non moins de quatre fois en jet privé en l’espace de onze jours! Une information rapportée par «The Sun», qui n’avait alors pas manqué de susciter la polémique, et entamé leur image de défenseurs de l’écologie. En août, le couple avait privilégié ce moyen de transport, non pas pour un rendez-vous protocolaire, mais bien pour se rendre sur leurs lieux de vacances, à Ibiza dans les Baléares, puis à Nice, dans le Sud de la France. Non seulement très coûteux, le jet est connu pour être particulièrement polluant… Une attitude que le tabloïd avait qualifiée «d’hypocrisie».

Des justifications peu convaincantes

Des politiques britanniques avaient aussi commenté, regrettant qu’ils ne donnent pas l’exemple, étant donné l’urgence climatique. Pris en défaut, Harry avait alors tenté de se justifier. Il avait mis ses voyages coûteux sur le compte de «circonstances uniques pour assurer la sécurité de [sa] famille» et qu’il veillait à «compenser [ses] émissions de carbone», relate le magazine «Point de vue». Une polémique qui tombait alors très mal puisque le jeune homme devait lancer au même moment un nouveau projet relatif à l’éco-tourisme. Un projet qui a dû être reporté étant donné les circonstances…



«Nous aurons deux enfants, au maximum»

Ces événements ont d’autant plus fait douter de la sincérité écologique du couple Sussex que ces derniers, peu avant, avaient exprimé leur volonté de contribuer à la sauvegarde de notre planète. Lors du «September Issue» - le numéro de rentrée du magazine «Vogue» dont s’était occupé Meghan en tant que rédactrice en chef invitée -, Harry avait répondu à une longue interview de Jane Goodall, une anthropologue britannique, dans laquelle il exposait ses points de vue sur l’avenir et la nécessité de protéger l’environnement.

«Je pense que nous aurons deux enfants, au maximum», avait-il alors déclaré, et ce pour ne pas surpeupler encore davantage la planète. «Cette situation écologique est d’autant plus terrifiante que nous venons d’avoir un bébé. Cela rend les choses différentes. Je vois les choses autrement aujourd’hui que je suis père», avait-il poursuivi.

Une prise de position courageuse dans un important média qui témoigne d’une envie de s’engager personnellement en faveur de cette cause impérieuse. Ainsi, les polémiques concernant leurs voyages ne seraient-elles que de simples erreurs de parcours? Espérons pour eux qu’elles ne se renouvellent pas cet été…

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