Le point sur sa vie sentimentale Dimitri Rassam évoque pour la première fois son divorce de Charlotte Casiraghi

Après deux divorces, l'ex-mari de Charlotte Casiraghi, ne croit plus aux contes de fées!

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20.01.2025, 08:22

20.01.2025, 08:24

Marjorie Kublun

Séparé de Charlotte Casiraghi en février 2024, le père de Balthazar fait le point sur sa vie sentimentale. Bien qu'il ne soit guère habitué aux confidences d'ordre privé, le producteur de cinéma Dimitri Rassam a expliqué à «Paris Match» qu'il avait désormais une autre approche des relations amoureuses.

Pour l'ex-mari de la fille de Caroline de Monaco, donc, avec «l'âge, on modifie son regard sur l'amour». Et il s'appuie sur ses deux expériences pour affirmer: «Je ne crois plus à la fusion totale et permanente dans un couple».

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«Dans nos liens familiaux, amoureux, amicaux, professionnels, il est nécessaire de revisiter ce que l'on a réussi. On contrôle si peu, il faut l'accepter», dit avec sagesse celui qui a produit le grand succès 2024 au box-office, «Le Comte de Monte Cristo».

«Les contes de fées n'existent pas dans la réalité, mais il faut continuer à croire aux grandes histoires d'amour. Dans un mariage, on sait qu'il y aura des épreuves, mais quand on est jeune, on n'en prend pas pleinement conscience», souligne le producteur de 43 ans.

Toutefois, de ses divorces, il ne veut «pas parler d'échec quand on a connu une histoire d'amour forte et qu'on a des enfants merveilleux». Il reconnaît cependant avoir été «altéré par ce que l'on vit», et, ajoute-t-il «la remise en question est vertigineuse».

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Dimitri Rassam ne regrette donc pas ses «choix amoureux», mais peut «questionner (ses) comportements». Ses proches, à qui il avait avoué «avoir perdu le contrôle», disent désormais de lui qu'il est «plus attentif» et «sait ce qu'il veut».

«Dans un couple, il est nécessaire d'arriver à conserver ce qui est beau quoi qu'il arrive», estime le fils de Carole Bouquet, qui avoue: «Ma plus grande angoisse n'est pas la peur de l'échec, c'est la crainte de ne rien vivre».

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