Elle sort du silence Carole Middleton en a-t-elle marre d’être discrète?

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5.12.2018

Les époux Middleton, Carole et Michael, arrivent à la clinique après la naissance du prince George, en juillet 2013. 
Les époux Middleton, Carole et Michael, arrivent à la clinique après la naissance du prince George, en juillet 2013. 
Keystone

Jusqu’ici plutôt effacée au sein de la famille royale d’Angleterre, Carole Middleton a récemment accordé une interview fleuve au journal «The Telegraph». Son rôle, son patrimoine, ses envies et son rapport aux médias… elle prend aujourd’hui la parole, en donnant par la même occasion quelques indices sur sa personnalité.

Aucune prise de parole médiatique depuis son entrée dans la famille royale… Carole Middleton, mère de Kate, ne veut surtout pas faire de vagues. Ces derniers jours, elle a pourtant accordé deux interviews à des journaux britanniques («The Telegraph», «The Good Housekeeping»). La raison officielle? L’annonce de l’anniversaire de son entreprise «Party Pieces», dont elle fête les 30 ans… On s’interroge pourtant sur le possible sens caché de ces sorties. Comme le suggère le magazine «Gala», tout cela ne serait-il finalement pas orchestré dans le but de masquer les tensions entre Kate et Meghan Markle à qui l’on attribue une relation houleuse?

Une femme de poigne et une «granny» attentionnée

Carole Middleton est de ces femmes qui ont le business dans la peau. Pour preuve, «Party Pieces», sa florissante entreprise dont elle fête aujourd’hui l’anniversaire, et dont elle est pour le moins très fière. «Dans les années 80, ce concept était assez neuf et j’ai saisi l’opportunité», se souvient-elle. Ce concept si novateur repose sur la vente d’accessoires destinés à la fête (costumes, déco, etc.). Une fêtarde, Carole? Oui, sans doute. Ou tout du moins lorsqu’il s’agit de ses petits-enfants, qu’elle gâte et auxquels elle a récemment offert un sapin chacun, afin qu’ils puissent le décorer à leur manière. Quand il s’agit de ses petits princes et princesses – à savoir George, Charlotte, Louis du côté de Kate ; Arthur né de Pippa –, la «granny» ne semble pas faire les choses à moitié, quitte à faire parler d’elle!

«L’impact Catherine» ou comment booster ses ventes

Généreuse, certes. Mais pas forcément avec les médias, auxquels elle se confie très peu, par peur de nuire à son image. Elle confie d’ailleurs ne plus lire ce que les journaux disent d’elle. La mère de la duchesse de Cambridge sait néanmoins tirer parti de cette médiatisation. Lorsque les premiers clichés de Kate et William, encore étudiants, furent publiés, elle avoue avoir constaté un véritable impact sur son chiffre d’affaires. Et cette conséquence positive, elle l’appelle «l’impact Catherine»…

Trop d’ambition sociale?

Carole Middleton, malgré cette discrétion jusqu’ici affichée, ne peut contester les avantages dont elle a bénéficié. Mais d’aucuns supposent que ces nouveaux privilèges seraient dus à sa volonté de gravir, coûte que coûte, l’échelle sociale… Elle aurait en effet souhaité que ses filles accèdent à de très prestigieuses universités afin d’y côtoyer tout le «gratin» britannique, et d’y faire d’intéressantes connaissances; comme ce fut notamment le cas pour Kate qui rencontra à l’université William, le prince héritier encore célibataire de la couronne d’Angleterre.
L’éducation de ses petits-enfants est elle aussi un point important pour elle. «Il faut être stricte et les entourer dès le début avec une structure forte. De plus dès qu’un enfant peut se tenir assis, il doit se retrouver à table avec les adultes pour pouvoir se sentir important». De fortes valeurs d’honneur et de discipline doivent donc leur être inculquées et ce, afin qu’ils puissent représenter comme il se doit leur titre de noblesse, et se fondre dans la haute-société à laquelle ils appartiennent désormais.
Tantôt tendre «granny», tantôt businesswoman et éducatrice… Celle qui s’avère être une main de fer dans un gant de velours se défend cependant de mener une existence fastueuse: «Nous vivons une vie très normale, la plupart du temps». Il n’en reste pas moins qu’à Noël, la mère de Meghan Markle résidera dans la demeure de la Reine, une proximité à laquelle elle n’a jamais eu droit…

L'«effet Kate»

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