Publireportage Nous fondons une famille: qu’en sera-t-il de notre prévoyance?

En coopération avec AXA

31.8.2021

En coopération avec AXA

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Attendre son premier enfant est synonyme de joie, mais aussi de responsabilités. Comment planifier les questions financières et la prévoyance afin d’envisager l’avenir avec sérénité? Comment se prémunir contre les coups durs? Voici nos réponses aux principales questions que vous vous posez.

Un couple qui attend son premier enfant est généralement confronté aux questions suivantes: faut-il réduire son taux d’occupation, voire prendre une longue pause pour profiter davantage de la vie de famille? Est-ce judicieux pour la prévoyance?

D’un point du vue purement rationnel, la réponse est non. Si vous travaillez 20% de moins, vous gagnerez 20% de moins, du moins avant impôts. Cette logique s’applique au salaire que vous percevez chaque mois, mais aussi aux prestations de prévoyance des premier et deuxième piliers qui sont liées au salaire. En outre, en cas de pause prolongée, vous ne pouvez plus cotiser au troisième pilier. Bien sûr, d’autres facteurs plaident en faveur d’une réduction du taux d’occupation, surtout si vous avez ou attendez des enfants. Notamment l’équilibre entre vie professionnelle et vie privée.

Pour la prévoyance, l’idéal serait donc de garder un taux d’occupation vous permettant de continuer à être assurés dans le deuxième pilier, tout au long de la période de prise en charge des enfants. Et il faut garder à l’esprit que, sans revenu professionnel, il n’y a pas non plus de possibilité de cotiser au pilier 3a.

Nous travaillons tous les deux et cotisons à l’AVS et dans la caisse de pension depuis des années. La maman gardera son statut de salariée. À quoi bon nous inquiéter de la prévoyance alors que nous sommes couverts?

En effet, vous cotisez, mais seulement aux deux premiers piliers, pas au troisième (3a/3b). Et le premier et le deuxième piliers ne sont pas toujours suffisants une fois à la retraite. On suppose qu’avec environ 80% du revenu commun, le niveau de vie peut être maintenu en grande partie. Toutefois, le premier pilier (rentes de l’AI et de l’AVS) et le deuxième pilier (rente LPP) ne couvrent normalement que 60% environ de la perte de salaire. Il en résulte donc une lacune de prévoyance d’environ 20%.

Par ailleurs, dans la vie, il y a certains risques: par exemple, l’incapacité de gain après une maladie ou un accident, ou encore un décès. Ce genre d’aléa entraîne une perte de salaire.

En cas de décès, il existe un droit à une rente de survivants (pension de veuve ou de veuf), qui est réglementée de manière plus complexe qu’on ne le pense. Les hommes y ont droit si au moins un des enfants est encore mineur. Et pour qu’une femme bénéficie de la rente, il faut qu’elle soit âgée de 45 ans ou plus et que le couple ait été marié cinq ans au minimum. Ce qui met en évidence un autre problème: seules les personnes mariées ont droit à cette rente, pas celles qui vivaient en concubinage. Ces dernières doivent donc penser à des couvertures supplémentaires, qui peuvent notamment être offertes par le 3e pilier.

Une prévoyance optimale – pour trois, quatre ou cinq personnes

Les enfants apportent énormément de joie au quotidien. Mais avoir une famille, c’est aussi beaucoup de responsabilités: comment faire face en cas d’imprévu? Dans le plan de prévoyance SmartFlex d’AXA (pilier 3a/3b), la protection du risque est incluse en cas de décès et d’incapacité de gain. Ce plan peut être composé individuellement et adapté à vos besoins personnels à tout moment. Ainsi, vos enfants bénéficient, eux aussi, d’une couverture idéale en tout temps.

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Certes, il existe des situations dramatiques. Mais il ne nous arrivera probablement rien, donc tout cela ne nous concerne pas.

Tout est dans le mot: «probablement». En Suisse, nous sommes dans un pays privilégié et nous nous attendons tous à finir nos jours à un âge avancé. Et les chances que cela se réalise sont effectivement très grandes. Pour autant, 1% des femmes et 1,5% des hommes meurent avant l’âge de 40 ans, selon l’Office fédéral de la statistique. Ces personnes sont peut-être des mères ou des pères de famille. Le nombre de jeunes adultes qui deviennent soudainement bénéficiaires de l’AI est encore plus élevé.

Peu importe que les parents soient mariés ou en concubinage, aborder ce genre de situation en famille est essentiel pour se préparer à faire face si quelque chose devait arriver. Il est judicieux pour cela de se faire conseiller par un ou une spécialiste. Dans une famille, on veut toujours le meilleur pour les uns et les autres, surtout pour les enfants. C’est avant tout pour eux qu’il faut veiller à planifier soigneusement la prévoyance familiale. Opter pour une protection supplémentaire sous la forme du 3e pilier est intéressant pour toute la famille. Il existe également des produits de prévoyance qui couvrent les risques.

Nous ne roulons pas sur l’or. Cotiser pour la prévoyance n’entre pas vraiment dans le budget familial.

C’est bien vrai, les dépenses sont nombreuses: garde des enfants, frais de scolarité, loisirs coûteux pour les petits, un appartement plus grand, des vacances pour trois, quatre ou cinq personnes... Dégager des fonds pour financer le troisième pilier n’est pas toujours facile. Et il est vrai qu’il faut bien se fixer des priorités. Alors pourquoi ne pas faire de la prévoyance une de vos priorités?

Supposons qu’un couple mette de côté 100 francs par mois, soit 1200 francs par an. Ce montant peut être réparti à parts égales entre les partenaires. Ou alors, celui ou celle qui gagne le plus prend en charge la part la plus importante. Peu importe. Ces 100 francs correspondent à environ 23 cafés dans un bar, douze paquets de cigarettes, un repas au restaurant pour deux personnes ou une sortie au cinéma pour une famille de cinq personnes. Au final, 100 francs, ce n’est pas un montant si énorme.

Sans oublier que le montant versé dans le pilier 3a est fiscalement déductible. Selon le canton et le revenu, en versant le montant maximal possible de 6883 francs, on peut économiser jusqu’à 2000 francs d’impôt sur le revenu et ainsi faire croître son épargne.

Nous avons abordé les possibilités qui s’offrent aux conjoints. Mais qu’en est-il des enfants?

Le premier et le deuxième piliers leur donnent droit à une rente d’orphelin. Toutefois, ce droit ne s’applique que jusqu’à l’âge de 18 ans, ou jusqu’à 25 ans si l’enfant suit des études. Son versement est indépendant de la rente de veuve ou de veuf. Si les deux parents venaient à décéder, une double rente d’orphelin serait versée.

Les assurances font, elles aussi, partie de la prévoyance. À côté des assurances d’épargne et de risque dont nous avons parlé, il en existe d’autres qui garantissent votre sécurité financière: l’assurance-maladie, l’assurance de la responsabilité civile, l’assurance de l’inventaire du ménage, l’assurance des objets de valeur ou encore l’assurance de voyages. En savoir plus pour constituer une protection optimale pour vos enfants.

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