Publireportage Ici les poussins mâles ont aussi le droit de vivre

En coopération avec Aldi

2.6.2022

La production d'œufs est une affaire de poules, pas de coqs. Alors quand une poule pondeuse met au monde un poussin mâle, les perspectives d'avenir de ce dernier ne sont guère réjouissantes. Comment résoudre le dilemme des poussins mâles?

Le label «retour aux sources» veut garantir par l'élevage que chaque animal sera valorisé.
Le label «retour aux sources» veut garantir par l'élevage que chaque animal sera valorisé.

En coopération avec Aldi

Tout est logique, mais le problème qui y est lié est inconnu du plus grand nombre. Dans l'agriculture, les races de poules sont spécialement sélectionnées pour pondre des œufs, mais l'élevage donne naissance à des poussins aussi bien femelles que mâles. Les femelles deviendront les poules pondeuses de demain. Une question se pose alors: que se passe-t-il si l'un des petits est un mâle, ce qui est le cas pour environ la moitié d'entre eux? Que deviennent-ils?

Les poussins mâles sont souvent tués

En effet, les poussins mâles issus de poules pondeuses ne conviennent malheureusement pas à l'industrie de la viande; ils grandissent trop lentement et restent maigres. Le résultat: les poussins mâles sont souvent tués peu de temps après leur sortie de l'œuf.

Est-ce la seule solution? Dans une optique de durabilité globale, les poussins mâles doivent aussi pouvoir vivre! Ceci est fortement ancré dans les valeurs fondamentales de la nouvelle marque bio «retour aux sources» d'Aldi Suisse. Pour chaque poule pondeuse introduite chez des producteurs d'œufs bio «retour aux sources», un poussin mâle doit également grandir dans une ferme bio. Les poules pondeuses, dont les œufs sont disponibles sous le label «retour aux sources», bénéficient d'un parcours quotidien sous des arbres et des arbustes indigènes qui leur offrent de l'ombre et une protection contre les rapaces. Ces haies font aussi partie du projet de promotion de la biodiversité sur les exploitations d'œufs «retour aux sources». Douze pour cent de la surface agricole utile sont consacrés à la nature, par exemple par des prairies riches en espèces, des haies ou des mares. Pour les directives bio traditionnelles, ce chiffre n'est que de 7 pour cent. De plus, la durabilité des exploitations est évaluée par l'institut indépendant d'agroécologie. Les clients peuvent consulter l'évaluation en ligne et suivre chaque œuf jusqu'à la ferme.

«retour aux sources», le bio qui va plus loin:

En Suisse, les exigences relatives aux produits bio sont plus contraignantes que dans la plupart des pays. «retour aux sources» d’Aldi Suisse va encore plus loin! Le label mise sur la transparence, la traçabilité, l’origine régionale et la durabilité. Sur chaque produit est indiquée la région d’où provient l’ingrédient principal. Les bovins sont obligatoirement élevés en pâturage et en stabulation libre, et le lait bio provient d’élevages garantis sans antibiotiques. Découvre, toi aussi, d’où viennent ces produits bio qui répondent aux plus hautes exigences!

En Suisse, la marque bio «retour aux sources» est fondée sur la philosophie «Prüf Nach!» du pionnier autrichien de la durabilité et du bio Werner Lampert. Le projet des poussins mâles leur permet de grandir dans des fermes bio. Leur viande savoureuse est commercialisée malgré leur petite taille: pas sous forme de poulet entier, sous forme de saucisse à rôtir par exemple. En élevant des poussins mâles, «retour aux sources» veut garantir la valorisation de chaque animal.

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