Raids anti-immigrésSelena Gomez en larmes: «Mon peuple se fait attaquer»
Covermedia
28.1.2025 - 10:28
Selena Gomez a exprimé sa tristesse face aux raids anti-immigrés aux États-Unis. Elle a posté sur les réseaux sociaux une vidéo dans laquelle elle confie son désarroi et promet d'aider autant qu'elle pourra.
28.01.2025, 10:28
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Selena Gomez s'est exprimée en larmes contre les raids d'expulsion des migrants ordonnés par Donald Trump.
Depuis son retour au pouvoir la semaine dernière, le président Trump a ordonné aux agents de l'Immigration and Customs Enforcement (ICE) de commencer à expulser massivement les migrants en situation irrégulière.
Des images diffusées au cours du week-end montrent des personnes confrontées aux autorités, puis menottées et emmenées – tandis que le président a également effectué un étonnant coup de force contre la Colombie, alors que les autorités de ce pays tentaient d'empêcher les Américains de renvoyer leurs ressortissants.
Les scènes ont suscité l'alarme aux États-Unis. La chanteuse et actrice Selena Gomez, qui a 32 ans, a indiqué sur les réseaux sociaux lundi 27 janvier (25) que des centaines de personnes ont déjà été raflées.
«J'aimerais pouvoir faire quelque chose»
Dans une vidéo Instagram Stories, la star a déclaré avec émotion: « Je voulais juste dire que je suis tellement désolée. Mon peuple se fait attaquer... Les enfants... Ils ne comprennent pas.»
Luttant contre les larmes, la star américano-mexicaine a poursuivi: « Je suis tellement navrée. J'aimerais pouvoir faire quelque chose, mais je ne peux pas. Je ne sais pas quoi faire».
Tout en continuant à essuyer les larmes de son visage, la main tremblante, Selena Gomez a ajouté: « Je vais tout essayer, je le promets ».
Elle semble toutefois avoir subi un revers, puisque sa vidéo a rapidement été supprimée et qu'elle a posté un message indiquant: « Apparemment, ce n'est pas bien de montrer de l'empathie pour les gens».
Le président Trump a provoqué des remous en donnant aux agents de l'ICE le pouvoir de cibler les écoles et les églises afin de procéder à des arrestations et à des déportations.
Le 47e président a promis de sévir contre les immigrés sans papiers et d'organiser des déportations massives après son retour au pouvoir ce mois-ci.
Il a imposé des sanctions d'urgence à la Colombie lorsque les autorités de ce pays ont interdit l'atterrissage des vols transportant des citoyens colombiens expulsés, dimanche. Toutefois, le pays sud-américain a rapidement réagi et a envoyé l'avion présidentiel colombien pour aider au rapatriement des citoyens.