Une devinette nationale! Quel sera le prénom du bébé de Meghan Markle et du prince Harry?

Le «royal baby», fils ou fille de Meghan Markle et du prince Harry, devrait naître au printemps prochain. En attendant, médias et bookmakers imaginent les prénoms que pourraient choisir les heureux parents. Un nom britannique traditionnel ou un brin plus original? Quel sera, peut-être, le choix des jeunes mariés?

Le 15 octobre dernier, seulement quelques mois après son mariage, on apprenait que le couple formé par Meghan Markle et le prince Harry attendait son premier enfant. Un bébé à naître le printemps prochain, et qui rejoindra le clan de George, Charlotte et Louis, ses futurs cousins et progéniture du prince William et de Kate Middleton.

Faites vos jeux!

A l’image de son mariage en mai dernier, la grossesse de Meghan Markle se déroule sous l’œil très attentif des médias britanniques. En attendant de découvrir le visage du nouveau-né, les bookmakers sont eux aussi aux premières loges et, comme à leur habitude, parient non seulement sur le sexe, mais aussi le prénom que les jeunes parents donneront à leur enfant. Et autant dire que les spéculations vont bon train, selon le «Daily Mail», qui liste les différents pronostics.

Si c’est une fille…

Si c’est une demoiselle, ils misent sur Victoria, un nom emblématique de la couronne d’Angleterre, ou bien encore sur Diana, comme un hommage rendu à la mère de Harry, tragiquement décédée en 1997. Le prénom Alice, en référence à un membre de la famille royale britannique au 18e siècle, fait aussi figure de favori. Sans doute moins attendus, mais bien envisagés, Mary et Elizabeth, d’éminentes reines d’Angleterre; le dernier prénom étant bien sûr celui de son arrière-grand-mère, Elizabeth II, actuelle monarque du Royaume-Uni. Les bookmakers ont aussi pensé à Alexandra, Frances, Grace, Emily, Sophie, Susan, Augusta, Olivia, Carol ou encore Eugenie, mais restent moins convaincus.

Et un garçon?

S’il s’agissait en revanche d’un garçon, de nombreux prénoms pourraient intéresser Harry et Meghan. Beaucoup pensent en effet qu’Arthur, Albert et Edward – des prénoms traditionnels de l’artistocratie anglaise – peuvent figurer parmi les favoris. Autres prénoms ancrés dans la culture du royaume, James, Alexander, Philip, Frederick, Charles ou William – comme son grand-père et son oncle! – pourraient également séduire Harry et Meghan, rapporte notamment «Gala». D’autres sources citent encore Thomas, David, Gregory ou Mark, des prénoms somme toute assez communs. Si l’on en croit en tous cas ces prédictions, il semble donc que les futurs parents n’aient que l’embarras du choix…

Un prénom américain?

Et si la future maman, Meghan, souhaitait que sa culture américaine soit représentée? Lors d’un souper officiel à Londres, le prince Charles aurait en effet plaisanté à ce sujet en imaginant que le couple penche pour un prénom d’outre-Atlantique, résolument moins classique pour un descendant de la Couronne. «Mon fils m’a dit que, au cours de son récent voyage en Australie, sa femme et lui avaient reçu d’innombrables suggestions en ce qui concerne le prénom de leur futur enfant», avait déclaré le fils de la Reine, rapporte l’«Evening Standard», en novembre dernier. Et d’ajouter: «Entre vous et moi, je pense que Kylie et Shane pourraient faire partie de la liste finale. Mais il n’est pas à exclure que Edna et Les soient aussi pris en considération». Meghan souhaiterait-elle convaincre Harry?

Quel titre de noblesse?

Côté titre de noblesse, le bébé n’étant pas un descendant du premier héritier de la Couronne – Harry n’arrivant que sixième dans l’ordre de succession –, peu de chances qu’il puisse un jour accéder au trône. Comme l’explique le site «RTL», s’il ne détiendra pas non plus le titre de prince ou de princesse, il pourra en revanche revêtir le titre de lord ou de lady, ou éventuellement de duc, s’il s’agit d’un garçon, étant donné qu’il est aussi l’aîné de la potentielle fratrie.

Une naissance attendue de tous

Les Britanniques et les médias du monde entier ont hâte de découvrir ce bébé royal, et Harry se révèle aussi très impatient de devenir père. L’été dernier, il avait en effet confié vouloir «fonder une famille dans un futur proche». Un souhait qui se réalisera donc moins d’un an après. Meghan, de son côté, pourra d’ici peu pouponner en compagnie de sa belle-sœur Kate Middleton, qui a accouché de son troisième enfant en avril dernier. Et qui sait, les bambins permettront-ils à leurs mamans d’enterrer définitivement la hache de guerre…

Meghan Markle: une icône de la mode?

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Meghan Markle: une icône de la mode?

Bien qu’elle ne soit même pas encore membre de la famille royale, la princesse de la mode Meghan Markle engendre d’ores et déjà des bénéfices princiers pour certains stylistes.

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Le manteau de Line The Label, que Meghan Markle portait au moment de l’annonce de ses fiançailles avec le prince Harry, a été épuisé au bout de quelques heures: «Nous avons eu 5000 demandes pour ce manteau», se rappelle le chef de la marque, John Muscat.

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Après l’interview des fiançailles avec la BBC, le site web de la marque italienne Parosh s’est effondré. La cause: Meghan Markle portait l’une de ses robes.

Le fait que Meghan Markle portait l’un de ses manteaux lors de la messe de Noël à Sandringham, a été pour la styliste Bojana Sentaler «le plus beau cadeau de Noël de tous les temps!»

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Sa visite à Nottingham au mois de décembre n’a pas été un plein succès que pour Meghan: le manteau à 800 francs qu’elle portait était épuisé au bout de deux heures et le sac à 670 francs dans les onze minutes qui suivirent son apparition.

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On dit que le fait que Meghan Markle portait, lors d’une audience officielle, un sac d’Oroton, a valu à cette marque australienne d’échapper à la faillite.

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Le manteau porté par Meghan Markle début avril, lors d’une visite à des sportifs à Bath, n’était plus en stock 24 heures après son apparition. Rien d’étonnant à cela: pour 270 francs, il était vraiment abordable en comparaison d’autres vêtements ou accessoires de la mode Meghan.

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La robe de la marque Self-Portrait portée par Meghan Markle trois semaines plus tard valait quelque 400 francs, ce qui ne l’a pas empêchée d’être aussi épuisée en l’espace de quelques petites heures.

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