«Insupportable» Cyril Hanouna défend Nabilla contre Laurence Boccolini

Le clash entre Nabilla et Laurence Boccolini, autour d'un sac Hermès, vient de prendre de nouvelles proportions. Cyril Hanouna a défendu son ancienne chroniqueuse dans «Touche pas à Mon Poste».

Un nouveau participant est entré dans le clash qui oppose Laurence Boccolini et Nabilla, et pas des moindres: Baba en personne! Cyril Hanouna a en effet défendu son ancienne chroniqueuse, moquée pour un cadeau que lui a offert son mari, Thomas Vergara. En effet, le sac Hermès en crocodile, «le plus rare au monde» comme le précisait la star de la télé-réalité sur Instagram, n'a pas plu à tout le monde.

«Laurence Boccolini a défoncé Nabilla sur Twitter. Dès qu'il y a un truc de toute façon, Laurence Boccolini est toujours là pour enfoncer les amis. Nous, dès qu'il y avait un truc, elle était là... Quand tu sors la tête de l'eau, elle est là! Dès qu'elle peut t'enfoncer, elle le fait! Tu deviens le maillon faible. Laurence Boccolini se mêle de tout! À chaque fois qu'il y a truc, elle vient mettre son grain de sel, elle a saoulé tout le monde. En plus, on a rien compris à son tweet. C'est vrai que moi, les donneurs de leçons sur les réseaux sociaux, qui dès qu'il y a truc, viennent se mêler et viennent t'enfoncer alors que t'as déjà une polémique de fou, ça c'est insupportable!», a alors lancé Cyril Hanouna, visiblement agacé, dans «Touche Pas à Mon Poste» ce lundi (10 février).

Si Nabilla a été moquée pour sa vidéo (plus que pour le sac en lui-même) par Laurence Boccolini, elle a surtout reçu des remontrances de la part de la PETA qui a lui a rappelé les conditions d'élevage et de mise à mort des crocodiles utilisés pour faire les sacs Hermès. La maison française - qui se serait sans doute bien passée de cette mauvaise publicité - n'a pas réagi.

Quant à Laurence Boccolini, après avoir été bloquée par Nabilla sur Twitter, elle a réaffirmé n'être «en guerre contre personne» et demande à ne pas «verser de l’huile sur le feu que je n’ai pas allumé et titrer n’importe quoi. On s’en fout du sac!»