Enfance volée Sara Forestier révèle un traumatisme lié à son enfance

A l'affiche du prochain film d'Arnaud Desplechin, «Roubaix, une lumière», Sara Forestier a évoqué son métier dans les pages de Marie-Claire. Elle y révèle que sa carrière est liée à un traumatisme qu'elle a vécu lors de son enfance.

«On devient acteur parce qu'on a une blessure», c'est avec ces mots que Sara Forestier a révélé son passé douloureux au magazine Marie-Claire.

«J'ai vécu la pire des choses qui puisse arriver à un enfant et je suis sûre que c'est pour ça que j'ai fait ce métier. Je ne vous en dirai pas plus, c'est mon traumatisme. Quelqu'un m'a volé mon enfance, quelqu'un m'a tuée dans mon enfance et ça ne répare pas du tout de jouer. Peu importe, le passé, c'est le passé. Il n'existe plus», a ajouté l'actrice, sans donner de détails.

Ce n'est pas la première fois que Sara Forestier s'ouvre sur son intimité. Elle s'était déjà livrée en 2017 en révélant un autre épisode difficile de sa vie après une expérience malheureuse sur le tournage du film «Bonhomme». «J'ai dû quitter ce tournage parce que j'avais fait une grossesse extra-utérine avec des complications et que si je ne me soignais pas correctement, je prenais le risque de ne plus pouvoir avoir d'enfants (...) Il était hors de question que je mette en danger mon désir de maternité pour un film», avait-elle expliqué à l'époque.

Sara Forestier sera bientôt à l'affiche du prochain film d'Arnaud Desplechin, «Roubaix, une lumière», aux cotés de Léa Seydoux et Roschdy Zem, qui sort le 21 août prochain.

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