Keira Knightley Même pour elle, reprendre le travail est angoissant

Keira Knightley est nerveuse à l'idée de retourner au travail pour la première fois depuis le début de la pandémie. L'actrice s'est confiée dans une interview pour le magazine Stella.

Keira Knightley a à la fois hâte et peur de retourner devant les caméras après avoir été « une maman à temps plein » pendant la pandémie de Covid-19. La star de Pirates des Caraïbes a terminé le tournage de sa nouvelle comédie noire, Silent Night, deux jours à peine avant le premier confinement en Angleterre en mars de l'année dernière et devrait reprendre le travail pour incarner la journaliste Loretta McLaughlin dans un film sur l'étrangleur de Boston.

Le tournage a obligé l'actrice, son mari James Righton et leurs deux filles, Edie, six ans, et Delilah, deux ans, à déménager à Boston pendant trois mois. Bien que l'actrice britannique soit ravie de jouer la comédie à nouveau, elle est nerveuse à l'idée d'être séparée de son plus jeune enfant après une si longue période à ses côtés. « La perspective semble impossible en ce moment, a-t-elle déclaré au magazine Stella. Je veux le faire, mais je suis maman à temps plein depuis 19 mois. Je n'ai pas quitté la petite. Elle ne connaît pas la vie sans que ce soit moi qui lui fasse faire la sieste. Je me dis déjà : «Oh mon Dieu, comment vont-ils s'en sortir ?» Mais, évidemment, ils vont bien s'en sortir, c'est moi qui vais avoir du mal. »

La star de 36 ans avait initialement accepté de jouer dans la série télévisée The Essex Serpent l'année dernière, mais a abandonné le projet à cause des restrictions sur les déplacements et a été remplacée par Claire Danes. « Le tournage avait commencé à ce moment-là, alors qu'on ne pouvait pas voyager entre différentes parties du Royaume-Uni. Ma benjamine avait un an, et tout à coup, je pouvais me retrouver coincée à l'autre bout du pays sans possibilité de la rejoindre. Je ne pouvais pas faire ça », a-t-elle expliqué.

Après avoir annulé la série, elle a cessé de travailler et s'est concentrée sur sa famille. « Il y a une partie de moi qui pensait : «C'est super, peut-être que je ne devrais plus jamais travailler.» Et une autre partie de moi qui était genre : «Whoa, il faut que je me remette au boulot très vite.» Mais c'était agréable, parce que nous étions une famille qui, jusque-là, bougeait tout le temps. »

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